N° 150
Mai

http://piednoir.net
    carte de M. Bartolini J.P.
     Les Bords de la SEYBOUSE à HIPPONE
1er Mai 2015
jean-pierre.bartolini@wanadoo.fr
http://www.seybouse.info/
Création de M. Bonemaint
LA SEYBOUSE
La petite Gazette de BÔNE la COQUETTE
Le site des Bônois en particulier et des Pieds-Noirs en Général
l'histoire de ce journal racontée par Louis ARNAUD
se trouve dans la page: La Seybouse,
Écusson de Bône généreusement offert au site de Bône par M. Bonemaint
Les Textes, photos ou images sont protégés par un copyright et ne doivent pas être utilisés
à des fins commerciales ou sur d'autres sites et publications sans avoir obtenu
l'autorisation écrite du Webmaster de ce site.
Les derniers Numéros : 140, 141, 142, 143, 144, 145, 146, 147, 148, 149,
EDITO

  Le Muguet du 1er Mai

Chers Amis,

         Cette année, le 1er mai c'est un vendredi. On connaît ce jour férié pour la fusion de ses traditions que sont le muguet et sa coutume celte pour célébrer le retour des beaux jours avec l'intrusion des seins de glace et les manifestations politiques ou festives pour cette fête du travail que l'on devrait dire aujourd'hui fête du chômage.

         1er mai syndical et politique : C'est reparti pour des cortèges. Comme chaque 1er mai, les syndicats de tout poil sortent tambours et banderoles et battent le pavé des rues de France.
         Contre l'austérité, pour la justice sociale - et un peu pour le folklore aussi - les syndicats crient pour des causes déjà perdues au lieu de se renouveler. Et si c'était, pour eux aussi, la lutte finale ?
         Les associations politiques qui se veulent sociales, aussi vont sortir leurs banderoles contre les xxxx…phobies, sauf contre la christianophobie. Il n'y a qu'à voir tous les actes de barbarie perpétrés contre les chrétiens du Monde et sans que cela n'émeuve les populations occidentales étouffées par les médias à la solde des gouvernants.
         Par contre, tous ces actes de barbaries porteraient préjudice à la religion de ces barbares si vous osez le crier haut et fort. Ce serait de l'islamophobie !!!!

         A ce stade, l'islamophobie est une escroquerie. Pendant que ce sont les juifs et les chrétiens qui sont haïs par un islam radical. Cette islamophobie veut faire croire en une montée de la haine envers les musulmans.
         Ces jours-ci, c'est une église du Val-de-Marne qui était la cible d'un étudiant en informatique, un algérien. Il aurait projeté un attentat et il est présumé avoir assassiné une jeune femme qui se trouvait sur son chemin. Ceux qui crient au loup sur une prétendue " hystérie " islamophobe, se font les complices, par leur cynisme, à la banalisation de la fureur qui se déchaîne contre les chrétiens et les juifs et en ne dénonçant pas ces violences. Les politiciens, eux, sont dans l'imposture: ils évitent même désormais d'employer ce mot creux d'islamophobie. D'ailleurs, littéralement, le terme désigne la peur de l'islam : or ce sentiment devient compréhensible. Dans la bouche des malfaisants, cette peur devient haine de l'islam. C'est aux musulmans qu'il revient de lever le malentendu.

         " Il faut mettre fin à cet esprit revendicatif qui, passant du social au politique et respectivement, nous a perdu parce qu'il a dissocié et décomposé les mœurs et les pratiques qui sévissaient dans les rapports du capital et du travail, procédant des mœurs et des stratagèmes du régime des partis, qui étaient autant de syndicats politiques. " (Maréchal Pétain 4 juin 1941)

Le fanatisme est de retour et le monde demeure une fête sanglante
" où le meurtre fourmille "

Victor Hugo - Jacques MYARD (toujours d'actualité)

         1er mai, fête du muguet et du bonheur : La plante à clochettes a toujours symbolisé le printemps et les Celtes lui accordaient des vertus porte-bonheur. Le 1er mai 1561, le roi Charles IX officialisa les choses : ayant reçu à cette date un brin de muguet en guise de porte-bonheur, il décida d'en offrir chaque année aux dames de la cour. La tradition était née.
         Je ne suis pas Roi, je n'ai pas de Cour, mais citoyen et pour respecter cette tradition, je vous offre ces bouquets virtuels qui m'ont été envoyés. Je vous souhaite tout le bonheur possible et la paix entre les peuples qui la veulent sincèrement bien et durable dans le respect de chacun.
    
Le premier Mai c'est pas gai,
Je trime a dit le muguet,
Dix fois plus que d'habitude,
Regrettable servitude.
Muguet, sois pas chicaneur,
Car tu donnes du bonheur,
Pas cher à tout un chacun.
Brin d' muguet, tu es quelqu'un."
Discours des fleurs        
Paroles: Georges Brassens        
Jean Pierre Bartolini          
        Diobône,
        A tchao.


La légende de Hammam Meskhoutine
Ou la Légende des Maudits

Envoyé par M. Charles Ciantar


Elle est liée au site qui porte le même nom, dans la région de Guelma, ville du Nord-Est de l’Algérie.
Hammam Meskhoutine veut dire le bain des damnés. Le site est connu pour sa source chaude, sa cascade et pour sa station thermale.

Photo M. C. Ciantar



Photo M. C. Ciantar





Photo M. C. Ciantar




Photo M. C. Ciantar   Photo M. C. Ciantar



La morale de la légende :
ne pas croire qu’on puisse toujours être au-dessus de tout,
quand on est le plus fort.
>


LA LEGENDE DES MAUDITS

Par Rachid Habbachi
le 30 juillet 2003


Photo M. J.P. Bartolini

On a dit, redit et parfois même médit sur l'origine des monticules calcaires de forme conique qui ornent l'esplanade qui jouxte les cascades pétrifiées d'Hammam Meskhoutine, cette station thermale réputée des environs de Guelma en Algérie.

Parmi ses guerriers, la tribu pouvait se glorifier de la présence dans ses rangs d'un cavalier émérite, le plus brave de tous et le plus riche, de toute la province, pour ne rien gâter, Sid Errezk le bien nommé (rezk voulant dire richesses, biens, propriétés) avait une sœur Yamenah, renommée dans tout le pays pour son port de reine et son extraordinaire beauté.

De très nombreux prétendants, les plus riches, les plus puissants, les plus braves, les plus beaux, avaient demandé sa main, proposant des dots faramineuses en bétail et en or sans que Sid Errezk ait jamais accédé à aucune de ces demandes.

Ces refus répétés ont fini par éveiller les consciences et, la rumeur aidant, il était clair que le frère tyrannique était épris de sa sœur et qu'il songeait même à l'épouser, acte s'il en est, réprouvé par toutes les règles de la morale qui régit le genre humain.

Horrifiée par la nouvelle, la communauté tribale persuadée qu'un pareil crime ne pouvait être commis, espérait malgré tout qu'aucun Cadi (dignitaire musulman cumulant les fonctions de juge et d'officier d'Etat-civil) digne de ce nom et de sa fonction ne pourrait enfreindre une loi divine en bénissant une union incestueuse.

La puissance, la richesse, peut-être même la peur eurent finalement raison des scrupules d'un Cadi qui consentit à unir le frère indigne à la sœur non moins indigne même si la légende ne précise pas si elle était consentante ou non.

Les mariés, les témoins et le Cadi, réunis pour la cérémonie sur la grande place jouxtant la cascade, les membres de la tribu, ne voulant pas cautionner par leur présence cet acte contraire à la morale, levèrent le camp pour aller au plus vite le plus loin possible du lieu où allait s'accomplir le plus abominable des forfaits.

Quelques jours après, sans nouvelles des noceurs, des nouveaux mariés, des témoins et du Cadi, certains se décidèrent à revenir au pays et grandes furent leur surprise, leur épouvante en découvrant sur le lieu même de la noce ces cônes blancs à forme humaine qui n'existaient pas avant leur départ.

On ne doutât point que les époux incestueux, leurs invités, les témoins de la noce ainsi que le Cadi, tous complices de la plus grande infamie de leur Histoire, eussent étés pétrifiés par le tout puissant.


Photo M. J.P. Bartolini

Les différents acteurs de la noce maudite furent reconnus par tous pour leurs attitudes et leurs caractéristiques propres dans les différents cônes et tout le monde convint que la justice divine avait frappé et que les coupables punis pour leur forfaiture avaient étés figés pour l'éternité afin que nul n'ignore ce qui s'était passé en ce lieu baptisé depuis, Hammam Meskhoutine (les thermes maudits).

Texte rédigé à l'attention des bônois du groupe Bartolini qui me l'ont demandé durant leur récent séjour à l'hôtel Seybouse, à Bône du 16 au 27 avril 2006.
Rachid HABBACHI


Photo M. J.P. Bartolini



DIEUX ou DEMONS ?
ECHO D'ORANIE - N°278



          En ces temps incertains,
          Dans ce monde inhumain
          Où les hommes se déchirent
          Leurs religions... leurs empires.
          Il est encore, il est vrai.
          Des gens raisonnés qui aspirent à la paix
          Sans Dieux, ni couronne, ni pouvoir...
          Mais simplement à vivre heureux, le vouloir.
          Au delà. des systèmes, des armes, des progrès
          Oui hélas nous entraînent dans un monde insensé,
          Où l'argent nous détruit et nous prive de vie.

          Alors que serons-nous demain ?
          Des fous, des barbares...mais non plus des terriens
          Des exterminateurs fanatiques.. plus que des chiens !
          Ou des ayatollahs comme le sont par l'Islam
          Des êtres imbus de Dieu qui ont perdu leur âme !!
          Au nom de quel Dieu, même s'il se nomme Allah !!
          Dieu n'est-il pas le même pour les uns comme pour tous.
          Créateur d'un monde qui pourrait être beau et pur.
          Mais qui a oublié jusqu'à sa vraie nature !

          L'amour de son prochain, si ce n'est pour les siens.
          Hier nous étions frères...Qu'en sera-t-il demain ?
          Un seul Dieu le saura. montrera le chemin...
          Si les guerres entre temps ne détruisent pas l'humain.
- POUR LA PAIX DANS LE MONDE -            
Septembre 2001            
Mme ROUAYROUS EYMARD Chantal            
  


LE MUTILE N° 23, 1917 (Gallica)

AU P.L.M.

          Si vous voulez être fixé sur la marche des trains du P-L-M. gardez-vous bien de descendre à la gare d'Alger et surtout de consulter les affiches des trains, a remarqué le public, car vous reviendriez bredouille

          En effet, et pour vous convaincre, permettez-moi de vous raconter ce qui m'est arrivé pas plus tard que le mardi, 10 avril courant.

         Devant partir à Boufarik, je descendis, comme de coutume, à 5 H 25 à la gare d'Alger, et grande fut ma surprise de trouver le guichet du P-L-M., direction d'Oran, fermé, et d'apprendre par un homme de peine de la Cie que le train de six heures était supprimé, depuis le premier avril.

          Je me retirai et cherchai dans la gare la marche des trains, mais la salle réservée au public était éclairée avec un tel luxe, qu'il était matériellement impossible d'y lire quoi que ce soit.

          J'attendis donc que le jour se leva complètement et passai en revue les diverses affiches donnant les horaires, il n'y en a du reste pas beaucoup et ce fut d'autant plus vite fait, que je ne cherchai que la marche des trains d'Oran. Je la trouvai la troisième en partant de la gauche, et voici ce qu'elle porte : Cie P-L-M., Marche des Trains, à partir du 1er octobre 1915. Ce n'était donc pas ce que je cherchais, et je restai perplexe en me demandant à quelles heures je pourrais partir, lorsqu'avisant un employé de la Cie, je lui demandai le renseignement dont j'avais besoin.
          - Consultez l'affiche, me fut-il répondu.
          - Laquelle, dis-je.
          - La troisième, à gauche, qui a été rectifiée, au moyen de bandes collées sur les anciennes heures.

          Je suivis ce sage conseil et en m'approchanl je m'aperçus qu'en effet l'affiche indiquée, d'un jaune canari, maculée de fiante de mouches, on avait opposé des bandes de même couleur, mais un peu plus propres, et que le premier train dont je pouvais profiter partait à 16 heures 45 minutes.

         C'est alors que je me suis posé plusieurs questions, auxquelles je n'ai pas encore trouvé la réponse, et voici ces questions :

          Pourquoi la Cie P-L-M. n'a-t-elle pas opposé dans sa gare des nouvelles affiches, puisqu'elle en a fait placarder paraît il, en ville ?

          Pourquoi, en modifiant à l'aide- de bandes, L'ancienne affiche, n'a-t-on pas modifié par le même moyen, le point de départ de la nouvelle marche?

          Est-ce que les fonds de la Cie seraient dans un état tel que ses moyens ne lui permettent pas de changer ses vieilles affiches maculées, par d'autres plus propres, et présentant un peu plus de sécurité pour l'hygiène publique ?

         Et je vous avance que je serais heureux d'avoir une réponse à ces diverses questions, et si le journal Le Mutilé pouvait satisfaire ma curiosité, je lui en serais reconnaissant, en attendant qu'on permette au public de pouvoir se fixer, sur les heures des trains.
LEJOLIVET.                  


Vieillir en beauté
Envoyé par Mme Eliane S.


    Voici un très beau texte plein de philosophie de Ghyslaine Delisle, pas facile à appliquer tous les jours, mais plein d'espérance.

      Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son cœur;
      Sans remord, sans regret, sans regarder l'heure;
      Aller de l'avant, arrêter d'avoir peur;
      Car, à chaque âge, se rattache un bonheur.

      Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son corps;
      Le garder sain en dedans, beau en dehors.
      Ne jamais abdiquer devant un effort.
      L'âge n'a rien à voir avec la mort.

      Vieillir en beauté, c'est donner un coup de pouce
      À ceux qui se sentent perdus dans la brousse,
      Qui ne croient plus que la vie peut être douce
      Et qu'il y a toujours quelqu'un à la rescousse.

      Vieillir en beauté, c'est vieillir positivement.
      Ne pas pleurer sur ses souvenirs d'antan.
      Être fier d'avoir les cheveux blancs,
      Car, pour être heureux, on a encore le temps.

      Vieillir en beauté, c'est vieillir avec amour,
      Savoir donner sans rien attendre en retour;
      Car, où que l'on soit, à l'aube du jour,
      Il y a quelqu'un à qui dire bonjour.

      Vieillir en beauté, c'est vieillir avec espoir;
      Être content de soi en se couchant le soir.
      Et lorsque viendra le point de non-recevoir,
      Se dire qu'au fond, ce n'est qu'un au revoir.


TRACES DE VIE
                    Par M. Gilles CAMILLERI (2013)             N°22


DIVERS

Les prénoms féminins à la mode chez les indigènes musulmans à BÔNE en 1836
(d'après le registre des décés)



       1) FATMA : 13 mentions
       2) AÏCHA : 11 mentions
       3) ZOHRA : 6 mentions
       4) MBARCA : 5 mentions
       5) HADDA : 4 mentions
       6) HADIDJA : 4 mentions
       7) CHELBIA : 3 mentions
       8) LUNA : 3 mentions
       9) FLITEN *
       FELTON : 3 mentions
       FLITEM

       10) MERIEM : 2 mentions
       11) BAÏA : 2 mentions
       12) JENNAT : 2 mentions
       13) TURKIA : 2 mentions
       14) DOULAT : 2 mentions
       15) IMNA 2 mentions
       EMNA

       16) JEMNAH
       ou JENNAH 2 mentions
       ou GEMMAH


       17) HIMOUNA
       ou MIMOUNA : 2 mentions

       18) MESHOUDA : 1 mention
       19) HAFIA : 1 mention
       20) HIRA : 1 mention
       21) HELGIA : 1 mention
       22) HELIMA : 1 mention
       23) FREHA : 1 mention
       24) OUREDA : 1 mention
       25) JASMINA : 1 mention
       26) ZINEB : 1 mention
       27) AÏDA : 1 mention
       28) KASSEM ( ?) : 1 mention
       29) HOMSAAT : 1 mention
       30) HEONY : 1 mention
       31) JANINA : 1 mention
       32) EMMHANI : 1 mention
       33) DRAIDIAJA :

       femmes dites
       34) MERKIA : étrangères à la ville


       * Nous avons respecté l'orthographe de l'officier de l'état civil français. 257
POSTFACE


       Le 26 juin 2012 un français natif de TUNIS accède au poste de président de l'Assemblée Nationale. Dans une grande envolée, ce " fils de prolétaires ", comme il se qualifie, remercie la République qui lui a permis d'en arriver là.
       Cette déclaration où sont brandis, tels des boucliers, les mots " prolétaires " et " République " sont la manifestation d'un profond traumatisme de la communauté française Nord Africaine.

       Remercier la République, mais elle seule, évoquer des parents d'origine étrangère, gommer la politique conquérante de la France coloniale du XIXe siècle est une mutilation du passé, une destruction de ce qu'a été la communauté des français d'Afrique du Nord pour essayer désespérément de correspondre à ce que beaucoup nomment aujourd'hui : la " bien pensance ".
       Considérons les déclarations de notre homme politique. Son accession à un poste politique prestigieux est due d'abord et avant tout à la France impériale qui pratique une politique de prédation et s'empare de la Tunisie en avril / mai 1881. Cette action qui peut apparaître répréhensible aujourd'hui permet à nombre de pauvres gens d'origine étrangère (italiens et maltais) voire indigène (israélites surtout) d'accéder à la civilisation française.
       Cette promotion s'effectue, il faut le dire, au prix de renoncements. L'oubli du passé et de la langue originelle s'opèrent sans grande résistance de la part de " colons " " néos " (321) heureux de " valoir plus " et de s'élever ainsi dans l'échelle sociale. L'école laïque, gratuite et obligatoire du " colonialiste " Jules FERRY joue bien sûr son rôle dans cette élévation mais aussi l'image glorieuse de la France et de son empire. Le prestige de la France de ce temps là, " mère des arts, des armes et des lois ", deuxième puissance mondiale, agit puissamment dans l'intégration des " colons néos " nord africains (322).
       C'est l'indépendance de l'Algérie qui va amener nombre de " pieds noirs " à se pencher sur les origines étrangères de certains membres (ou de tous les membres) de leurs familles.
       Le colon Nord Africain d'avant 1962 s'applique donc non seulement à " valoir plus " mais aussi, pendant des années, à être plus français que les français de métropole. Il voue à la patrie, une terre où il a parfois si peu d'ancêtres, un amour proche du fanatisme.
       Trahie et ostracisée dans les cœurs, les esprits et les livres d'Histoire, une grande partie de la communauté " pied noire " en est donc arrivée à mutiler, à travestir son passé. Ce faisant, elle s'anéantit. Cette destruction parachève la première, entreprise dès 1962.
       Après l'exode, les français d'Algérie avaient fermé la porte de leur passé algérien et bien pris soin d'en jeter la clef au fond du puits de l'oubli, habitués qu'ils étaient à faire table rase des expériences malheureuses pour mieux repartir à la conquête d'une vie meilleure.
       Aujourd'hui, devant le désastre mémoriel et historique organisé par quelques historiens et par de nombreux hommes politiques qui trouvent dans ce terreau humain des victimes responsables qui ne savent ni pleurer ni crier, il nous faut changer d'attitude. Soucieux de comprendre un passé enfoui à la hâte et aujourd'hui travesti, j'ai essayé dans les pages qui précédent d'apporter au dossier de la défense, qui reste à constituer, quelques éléments extraits des documents les plus neutres possibles : les registres de l'état civil de BÔNE.
       Cette tentative " de sortir nos ancêtres du tiroir aux perdants où ils s'empoussiéraient " (323) m'a montré que j'avais affaire à un monde de petites gens, de pauvres hères, désireux surtout de réussir sur une terre hostile.
       Pour le reste, des questions restent encore à poser et à élucider. Je n'en donnerai qu'un exemple qui n'a cessé de m'interpeller. Pourquoi, dans notre monde obnubilé par les chiffres, a-t-on évité de faire le bilan du gâchis humain qu'a représenté le mouvement de migration colonial vers l'Algérie ? Nos historiens ne cessent d'évoquer au fil de leurs livres, la guillotine " sèche " infligée aux transportés de 1848, une guillotine politique. Ils oublient qu'il en a existé une autre, économique et sociale, plus humide celle là, qui a tout bonnement expédié dans des zones mortifères des milliers d'individus qui n'avaient que le tort d'espérer une vie plus digne. Leur départ de la vieille Europe, il est vrai, confortait des positions bien assises, sécurisait à peu de frais villes et campagnes, jugulait d'éventuelles révoltes ou révolutions.
       Il m'a été difficile, sentimentalement, d'entrebâiller la porte de mon passé qu'on m'avait appris à ignorer. Je souhaite que d'autres descendants de " colons " bônois se glissent par l'ouverture et continuent à l'ouvrir.
       J'en profite pour saluer au passage mes prédécesseurs en écriture sur ce chemin trop peu fréquenté. Mes concitoyens et compatriotes Georges BAILLY, Hubert CATALDO dont j'ai dévoré les livres concernant ma ville natale, Marc DONATO qui m'a beaucoup appris sur mes ancêtres maltais, Marc BAROLI dont j'ai lu et relu l'ouvrage sur " La vie quotidienne des français en Algérie ".
       Je tiens enfin à adresser un salut tout particulier à Claudine ROBERT GUIARD dont le regard si attentif sur les femmes de mon pays m'a poussé à écrire quelques pages de plus parmi celles qui précédent.
Gilles CAMILLERI           

ANNEXE

       (321) Nouveaux français.
       (322) Dans la famille de l'auteur de ces lignes les origines maltaises et italiennes des commerçants et des marins du côté paternel, le métier de portefaix du trisaïeul sont ainsi gommés tandis que les ascendances périgourdines et champenoises des officiers du côté maternel sont mises en valeur. La grand-mère paternelle maltaise raille son époux qui effectue un voyage à MALTE. Elle fait montre d'un certain mépris pour les maltais " ordinaires " c'est-à-dire ceux qui n'ont pas fait l'effort de devenir de bons français.
       (323) Selon une belle expression d'Alain DUBOS dans son livre " Rouges Rivières " TIMEE EDITIONS (2008) p 324.


FIN de cet énorme travail
Un grand merci à Gilles Camilléri

  
    
Le ministre et l'ingénieure
Histoire Envoyée par Eliane



       Un ministre, dans la nacelle d'une montgolfière, ne sait plus où il se trouve. Il descend et aperçoit une femme au sol. Il descend encore plus bas et l'interpelle
       « Excusez-moi, pouvez-vous m'aider, je ne sais plus où je me trouve et j'ai promis à un ami de le rejoindre à midi ? »La femme répond :
       « Vous êtes dans la nacelle d'un ballon à air chaud, à environ 10m du sol. Vous vous trouvez exactement à 49°, 28' et 11'' nord et 8°, 25' et 23'' est. »
       « Vous devez être ingénieur », dit le ministre.

       Je le suis, répond la femme, comment avez-vous deviné ?
       « Eh bien, dit-il, tout ce que vous m'avez dit a l'air techniquement parfaitement correct, mais je n'ai pas la moindre idée de ce que je peux faire de vos informations, et, en fait, je ne sais toujours pas où je me trouve. Pour parler ouvertement, vous ne m'avez été d'aucune aide. Pire, vous avez encore retardé mon voyage ».
       La femme lui répond : « Vous devez être ministre ».
       Oui, dit-il, comment avez-vous deviné ? »

       Eh bien, dit la femme, vous ne savez ni où vous êtes, ni où vous allez. Vous avez atteint votre position actuelle en chauffant et en brassant une énorme quantité d'air.
       Vous avez fait une promesse sans avoir la moindre idée de comment vous pourriez la tenir et vous comptez maintenant sur les gens situés en dessous de vous pour qu'ils résolvent votre problème.
       Votre situation avant et après notre rencontre n'a pas changé, mais comme par hasard, c'est moi maintenant qui, à vos yeux, en suis responsable ».
      




GADAN ANTOINE
Envoyé par M. Charles Ciantar, 2015

Antoine Gadan     (4)
Peintre



Photo envoyée par M C. Ciantar
Nature morte aux grenades



Photo envoyée par M C. Ciantar
Passage de l'Oued El Kantara




Photo envoyée par M C. Ciantar
L'Oued et le village




Photo envoyée par M C. Ciantar
Passe de l'Oued El Kantara

Photo envoyée par M C. Ciantar
Passage à Oued El Kantara




Photo envoyée par M C. Ciantar
Pasteur maure et son troupeau
Photo envoyée par M C. Ciantar
Paturage dans la campagne Algérienne




Photo envoyée par M C. Ciantar
Paysage d'Afrique du Nord
Photo envoyée par M C. Ciantar
Thé sous la tente




Photo envoyée par M C. Ciantar
Troupeau dans la campagne Algérienne




Photo envoyée par M C. Ciantar
Troupeau en Algérie




Photo envoyée par M C. Ciantar
Troupeau en Algérie





ANECDOTE
Envoyée par M. Pierre Barisain
Connaissiez-vous ces pages d'Albert Camus ? A lire, 222 ans après la mort de Louis XVI:

                  « Le 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s'achève ce qu'on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c'est un répugnant scandale d'avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l'assassinat public d'un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s'en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du Roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu'ici, se mêlait à l'histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n'y a plus de Roi. Il n'y a donc plus qu'une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.

                  Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l'Évangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s'est pas encore relevé. Il semble vraiment que l'exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s'est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s'accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu'il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s'identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu'il soit bien dit que l'attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l'incarnation divine, et non la chair effrayée de l'homme. Son livre de chevet, au Temple, est l'Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l'échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n'est pas Capet qui meurt mais Louis de droit divin, et avec lui, d'une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu'à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau. »
Albert Camus, L'homme révolté, La Pléiade, p. 528-529       


 DOCUMENTATION
                    Envoyée par M. Jarrige                    


OECUMENISME A NICE
Par M. Hugues Jolivet
Photomontage M. Jolivet
         C'est en juin, chaque année, qu'à Cimiez aux Arènes,
         "Au Soleil des Deux Rives" rassemble, durant deux jours
         Un peuple d'exilés des contrées algériennes,
         Uni dans la souffrance sans espoir de retour.

         Le dimanche matin, consacré au Seigneur,
         A la Vierge Marie et à Saint Augustin,
         Réunit les croyants priant avec ferveur
         Leur Dieu, le Tout Puissant, Lui confiant leur destin.

         Vient "l'Ite missa est" et place au chant choral,
         Sous l'oeil bienveillant du Christ crucifère
         Qui bénit, tour à tour, par un rayon sacral,
         Une chorale juive, une nouba berbère.

         On accuse à tort les Pieds Noirs de racisme.
         Je n'ai, nulle part ailleurs, retrouvé cette union
         D'un peuple pratiquant un tel œcuménisme,
         Issu d'une même terre et de trois religions!
         - Hugues JOLIVET
12 avril 2015



Photos de Bône
Envoyées par M. Rémi Lafranque,



Photo envoyée par M. R. Lafranque
Salle des Fêtes
Photo envoyée par M. R. Lafranque
Place d'Armes



Photo envoyée par M. R. Lafranque
Rue Saint Augustin


Photo envoyée par M. R. Lafranque
Les Quais




Photo envoyée par M. R. Lafranque
Police de Bône

Photo envoyée par M. R. Lafranque
Hôtel de Nice




Alain MIMOUN
Envoyé par Mme Annie Bouhier
Un Homme qui mérite le respect !
Article de Vincent de Longueville, ecrivain, journaliste:

             C’est marrant, mais quand je vois la vie d’Alain Mimoun, j’ai comme une envie de comparer. Loin de moi l’idée que tout était mieux avant, mais je dois bien reconnaître qu’à l’occasion, le bon vieux temps me file la nostalgie.
             C’est vrai, Mimoun, c’est quand même cet Algérien qui a devancé l’appel sous les drapeaux, pour aller se prendre une dégelée par les Boches en 1940, à la frontière belge. Qui a remis ça contre Rommel en Tunisie. Puis a failli perdre un pied à Monte-Cassino, début 1944, pour débarquer en Provence six mois plus tard.
             Forcément, quand on n’a pas fait le service militaire parce que Chirac l’a supprimé, on a un peu plus de mal à chanter La Marseillaise avec l’équipe de France. Et je ne veux viser personne.
             Mimoun, c’est aussi le garçon de café qui a vécu quatorze ans dans un deux-pièces du XIXe, à Paris, alors qu’il se battait aux quatre coins de la planète pour la suprématie mondiale en course de fond. Celui que Zatopek fut tout heureux de voir gagner à Sydney, en 1956, après l’avoir privé trois fois de podium olympique. Ça a quand même plus de gueule que les petites querelles d’égos de nos divettes footballistiques, à Ferrari de fonction et hôtel particulier dans les beaux quartiers de Londres. Mais je ne veux viser personne…
             Mimoun, c’est le stakhano, vous lançant cette maxime maison pleine de bon sens : « Quand ça fait mal, c’est que ça fait du bien ».
             Le gars qui, quand il défaille au 30e kilomètre du marathon de Sydney, se traite de « salaud », s’insulte copieusement, se met lui-même des coups de pied au cul, et gagne par-delà la douleur, quand d’autres préfèrent rejeter la cause de leurs échecs sur les arbitres, les journalistes, les entraîneurs. Ou font la grève de l’entraînement… Bon, d’accord, je vise quelqu’un. Enfin, quelques-uns, mais n’y comptez pas : vous n’aurez pas de noms.

              Mimoun, quand il parlait, ça pouvait être imprévisible. On l’écoute :
             “En Australie, quarante ans après les jeux olympiques de Melbourne, j’ai été reçu comme un chef d’Etat. On m’a même proposé le passeport australien. Ce à quoi j’ai répondu : “ Vous savez, j’ai déjà deux nationalités : Française et Corrézienne"
             C’est sûr que ça nous change des analyses d’après match de nos héros modernes, à base de «l’important, ce soir, c’était les trois points », ou « comme dit le coach, il faut prendre les matchs les uns après les autres, on fera les comptes à la fin de la saison ».
             Pas de nom, j’ai dit. Une tombe.
             Mimoun, c’est le type qui a cinquante stades à son nom, des écoles et des rues dans tous les sens. Pas mal, pour quelqu’un qui vient de mourir.

             Alors, à quand une école Nicolas Anelka, un stade Samir Nasri, une avenue Karim Benzema ou pire encore ,une place Frank Ribery ? Aïe, ça y est, j’ai lâché des noms… Las, ceux-là, c’est davantage dans la rubrique fait divers qu’il faut les chercher, accolés à celui de Zahia ou autre…
             Mimoun, c’est ce type qui a su aimer la France, au temps où la France savait se faire aimer. Où elle n’avait pas encore pris ce pli de se déverser un tombereau de culpabilité sur la tête à chaque occasion. Mimoun c’est le patriote pur et dur, que même le FLN n’a pas tenté de récupérer, et à qui de Gaulle affirma qu’ils avaient deux points communs : leur amour de la France et leur longévité. Car oui, Mimoun, à 44 ans, il gagnait son quatrième titre de champion de France du marathon ! Jusqu’au bout, il aura couru ses 10 ou 15 kilomètres par jour.
             Mimoun, c’est ce petit Français qui meurt en même temps que Mandela et qui, comme lui, a su jeter des ponts entre les cultures et les races, pour devenir l’un des plus grands porte-étendards français.
             Cet homme qui est né Ali, musulman, dans l’Oranais, qui est mort 92 ans plus tard : Alain, catholique, dans le Val-de-Marne. Il admirait Bayard et Sainte-Thérèse-de-Lisieux, il déclarait, se retournant au crépuscule de sa vie sur son aurore :

             “Je savais depuis longtemps que mon pays était de l’autre côté de la mer. Mes ancêtres, étaient des Gaulois. La France était déjà dans ma peau et dans mes veines. Par conséquent, qu’on ne me parle pas de ces conneries d’intégration “!
              



Désintégration
Poème Envoyé par Hugues






       Intégration manquée des musulmans en France
       Solution de la Gauche dans sa désespérance :
       Désintégrer notre âme, notre souveraineté.

       Tel est le sentiment que de nombreux Français
       Partagent amèrement, inquiets sur l'avenir
       Du Pays des Lumières, ils souhaitent dénoncer
       Son démantèlement et peuvent intervenir,

       Battant successivement à toutes les élections,
       Notre Etat socialiste et son Gouvernement:
       Des mairies, le Sénat et des départements
       Passés de Gauche à Droite, sans une hésitation,

       L'Etat ne tient pas compte de ces coups de semonce,
       Néglige l'économie pour l'idéologie,
       Sacrifie notre Histoire et veut que l'on renonce
       A nos us et coutumes, à notre théologie.

       "Réformer, réformer" leitmotiv à la mode.
       Le mariage pour tous n'a pas créé d'emplois,
       Mais a jeté le trouble, la France perd ses codes
       Une brèche est ouverte pour de nouveaux exploits!

       Une arme redoutable que la laïcité
       Pour rappeler à l'ordre tout écart de conduite
       Des signes ostentatoires de notre chrétienté,
       Les crèches dans les Mairies furent objets de poursuites.

       Mais la laïcité permet quelques variables,
       S'il s'agit des cantines des écoles et collèges,
       Du port de la burka, un traitement amiable
       Sera approprié. Un geste, un privilège.

       La même laïcité d'une République moderne
       Etudie un projet tendant à modifier,
       Pour cinq mille communes, le nom qui les concerne
       Lorsqu'il s'agit d'un Saint ou d'un béatifié.

       Qu'importe le moyen, conserver le pouvoir
       Est la priorité. Flatter l'électorat,
       Trouver de nouvelles voix, ne pas les décevoir,
       Agréer leurs demandes, être un protectorat !

       Et pour mener à bien ces insensées réformes,
       Un budget spécifique y doit être affecté.
       Vendre le patrimoine aux Puissances en forme
       Est le plus sûr moyen qu'il soit bien collecté.

       Est ce la pointe d'humour, le sel du Président
       Qui nomme, près du Pape, Ambassadeur de France,
       Un diplomate homo? Saint Père, c'est évident,
       Refuse le candidat, manifeste son outrance.

       Le tandem aux commandes de notre République
       N'a pas, depuis trois ans, obtenu la confiance,
       Il endort le peuple qui prépare sa réplique
       Et lui fera payer son autosuffisance.

       Hugues JOLIVET
       22 avril 2015









Assia Djebar et Roger Hanin :
la valise et le cercueil !

Envoyé Par J.P. Spina

S'il y a un article que vous devez lire avec la plus grande attention, c'est celui-ci.

Il a été écrit (et fort bien) par un journaliste particulièrement courageux, à l'occasion des obsèques de Roger Hanin à Alger.

Il n'a pas eu peur de témoigner pour tous ceux qui ont habité l'Algérie ... ceux qui y habitent ... ceux qui la dirigent.

On aurait peine à trouver en France un seul journaliste capable d'une analyse si pertinente en si peu de mots.

Et dites-vous bien que si cet article a été publié, il a également été lu, très largement semble-t-il.

Beaucoup d'algériens adhèrent à son contenu : ceux qui refusent le brouet que le régime FLN leur propose depuis 50 ans.

Merci, en particulier, à celui qui m'a fait parvenir ce texte remarquable !

Que Dieu protège l'Algérie et y ramène un régime politique respectable par tous ses habitants ... ???
http://www.lematindz.net/news/16629-assia-djebar-et-roger-hanin-la-valise-et-le-cercueil.html

        Assia Djebar et Roger Hanin : la valise et le cercueil !

        Quelle aberrance, quel surréalisme dans le destin de ces hommes et de ces femmes qui n'ont eu d'autre choix que celui de prendre la valise afin d'échapper au cercueil pour revenir 50 années plus tard empaquetés dans des corbillards !

        Quel que soit le regard que l'on jette à cette journée funéraire, on y décèle indéniablement quelque chose de pervers et de surréaliste à la fois. Pervers, quand on sait que c'est ce même pouvoir, celui qui a semé les graines de l'exclusion pour chasser les vivants de la surface de nos terres, hier, qui les accueille aujourd'hui pour leur offrir la petite parcelle tant désirée, sous terre. Surréaliste, avec ce jeu du hasard qui a vu s'étreindre les cercueils d'un juif et d'une musulmane dans cette procession synchronique du dernier voyage vers la demeure éternelle, ultime offrande de leurs corps à cette terre qui les a tous deux vu naître à une époque où tout le monde rêvait d'une Algérie meilleure, chacun un peu trop pour soi mais pas assez pour les autres, ces autochtones originels que l'histoire et les envahisseurs de tous bords ne cessent de ballotter pour les greffer de force à des boutures contre-nature.

        Comment ne pas être perplexe et dubitatif devant cette curieuse symétrie qui a fait converger ces deux destins, à l'origine quasiment antithétiques, pour les fusionner un vendredi 13 à l'aéroport d'Alger ? Roger Hanin a quitté l'Algérie bien avant le funeste et célèbre ultimatum " la valise ou le cercueil" adressé par le FLN à tous les non musulmans d'Algérie. Assia Djebar s'exile quelques années seulement après l'indépendance, prématurément étouffée par une arabisation empressé et insensée, présageant de l'actuel sort du pays, transformé en cercueil à ciel ouvert par la grâce d'une bande d'aventuriers sans foi ni loi.

        Quand on jette un regard neutre et lucide sur notre Histoire récente, on s'aperçoit bien que nul autre choix que celui de la valise ou du cercueil n'est donné à tous les algériens depuis l'indépendance, qu'ils fussent pieds noirs, harkis, chrétiens juifs ou musulmans, qu'ils appartiennent à des lignées récentes ou issus de souches millénaires, celles de nos seuls ancêtres, les berbères. Au lendemain de l'indépendance, les pieds-noirs, sous une menace cruelle, ont préféré prendre la valise pour éviter le cercueil. Après l'indépendance, c'est la même forme de violence dissuasive et de chantage qui a poussé les Algériens du terroir à préférer la valise au cercueil à ciel ouvert qu'est devenu le pays. La barbarie islamiste aidant, ceux sont des centaines de milliers d'hommes et de femmes qui ont fui, par la grâce d'un pouvoir de petits truands immatures, inaptes et mesquins, imposés depuis 1962 par des militaires intellectuellement restreints.

        On peut bien invoquer la malédiction ou tout autre cause naturelle ou surnaturelle à cet exil de masse, mais comment se réfugier derrière telle niaiserie et ne pas pointer la responsabilité des hommes aux commandes quand des milliers de "haragas" s'empilent dans des embarcations de fortune pour défier la mer et ses dangers, préférant mourir et finir dans la gueule des gros poissons que de supporter le poids d'un avenir oppressif, avec des années de mal-vie sous ce ciel miséreux des FLiN-tox ? Un ciel bleu sous lequel ne règne, dans le moindre de ses recoins, que des nuées d'islamisme étouffant une société formatée à avoir un pied dans la tombe à longueur de journée, tout au fil des saisons, y compris le printemps, au lieu de cultiver ce merveilleux verger au mille et une "thivhirines" que nous enviaient tant de pays lointains.

        Cette journée du 13 février 2015 aura aussi dévoilé le caractère hautement inhumain du dédain que voue le pouvoir d'Alger envers tous les autochtones qui ne marchent pas dans ses combines. Car comment ne pas relever la différence de traitement, même dans la mort, entre la fastueuse procession réservée à Roger Hanin, avec une présence affirmée d'officiels, et celui d'un enterrement bien plus sobre réservé à Assia Djebar dans son petit patelin de Chenoua ?

        Telle irrévérence n'est pas sans rappeler celle dont fut victime, de son vivant, cheikha Remitti, laquelle avait eu la malchance d'atterrir à l'aéroport d'Alger en même temps qu'une bimbo de la télé réalité française pour laquelle de hauts responsables politiques avaient déroulé le tapis rouge, pendant que notre cheikha fut allègrement ignorée.

        D'Assia à Yacine et Roger, des hommes et des femmes ont aimé l'Algérie, chacun à sa façon, et il faut une sacrée dose de passion pour lui offrir sa sépulture ! Les voir ainsi partir, c'est une bonne partie de nos rêves qui s'effrite, le rêve de cette Algérie de fraternité qui fout le camp obstinément, génération après génération. Emportée par ceux qui lui vouent un amour des plus vils, ceux qui sans vergogne la pillent. Ceux-là ont des funérailles nationales, mais nous ne les pleurons jamais !

        Tout comme nous n'avons pas pleuré Boumediene hier, nous ne pleurerons pas Bouteflika demain, car de cette terre berbère, ils n'ont aimé que les trésors et les perles, et noyé ses peuples dans l'Islam des ténèbres pour le dépouiller à perpète sous l'œil bienveillant d'un monde et d'une France enclins à sacrifier chaque homme, chaque femme indigène pour quelques gouttes de pétrole nécessaires au fonctionnement de sociétés qui ne savent plus verser dans l'émotion et les sentiments, ces "machins" regroupés sous l'appellation sordide de civilisation !

        Quels Dieux, quels Saints peuvent souscrire à telles horribles bénédictions ?

        Quant à nous, universalistes convaincus, nous ne nous bousculerons pas pour quémander une petite place sous terre ! Nous avons déjà choisi l'habitacle pour notre dernier voyage ; celui du crématorium, pour un retour instantané à notre état naturel de poussière, celui que nous avons été et serons pendant des milliards d'années encore. Ainsi nous allégerons la tâche à Belzébuth et laisserons plus d'espace au paradis d'Allah pour nos frères. Comment ne pas s'attendrir sur cette course au mérite d'une vie meilleure là-haut, une vie éternelle remplie de créatures aguichantes, de fruits délicieux, de ruisseaux de vin exquis pour récompenser l'abstinence ici-bas ? Abstinence pratiquée par le pauvre, encouragée par le riche, lequel se goinfre tous les jours à dégoût, comptes HSBC en cerise sur le gâteau ! Sacrés Terriens !

        Sallam Assia ! Shallum Roger ! Reposez en paix !
Kacem Madani


La ciguë et Socrate
Envoyé par M. Robert Puig
             Socrate est mort assassiné, empoisonné, par ordre. Il gênait
             Aujourd'hui, la ciguë existe toujours pour éliminer ces Pieds-Noirs qui gênent.
             Je croyais que ma mémoire avait bu sa ciguë jusqu'à la dernière goutte pour qu'elle s'éteigne, pour que le passé de l'Algérie - française - ne soit plus qu'un détail de l'histoire : la date d'une indépendance offerte et d'un exode ignoble n'appartenant plus à l'Histoire de France, parce que de nombreux politiciens ne veulent pas reconnaitre ce temps d'une tragédie.
             Je croyais que le dédain que je subissais prendrait fin et qu'à l'approche du prochain crépuscule que sera le mois de juillet 2015, plus de cinquante ans après l'abandon de ma terre natale, une Patrie réconciliée tendrait définitivement à ses enfants d'Algérie une main loyale et fraternelle. Je croyais...
             Au fil des années, que de fois j'ai enduré des mensonges, de fausses vérités qui faisaient de mon histoire une période honnie, vouée aux gémonies.
             Au fil des années, des voix " autorisées " de gouvernants, avec une presse " engagée " et irresponsable ont cependant continué à semer des contrevérités sur les cent trente deux ans de la présence européenne en Algérie : une terre sans racine hissée au monde moderne du XX ième siècle !
             Finalement, avec d'autres patriotes Pieds-Noirs, et pour l'honneur de l'Histoire de France j'ai souhaité, à mon modeste niveau, porter la contradiction à ces impostures politiciennes et affirmer ma " Vérité " ; expliquer que toute cette violence agressant l'âme pied-noir ne méritait pas autant d'opprobre et de discrédit, ni cette accusation de fasciste, de colon, de " coupable " d'office.
             Des voix d'ailleurs se sont élevées, s'élèvent encore, pour apporter les preuves de ce " bourrage de crâne " et de ces mensonges. Elles sont souvent étouffées par la puissance mythomaniaque de clans humano-gauchisants qui, pour gagner de prochaines élections, veulent comptabiliser pour acquises des voix étrangères, soumises au communautarisme et non à la démocratie républicaine qui est la nôtre.
             C'est là que la ciguë qui veut exterminer ma mémoire agit, sans que des députés ou des sénateurs douillettement installés dans leur fauteuil, se réveillent et crient : " Non ! N'avale pas cette dernière goutte ! Ne meurs pas ! "
             Hélas, la désinformation et la volonté de rompre avec l'Histoire de France, celle qui me fut enseignée dans mon enfance : la conquête du monde sous l'oriflamme bleu, blanc et rouge au son du clairon ; les batailles gagnées ; le dévouement apporté pour éradiquer des territoires nouveaux les fléaux de la nature et les maladies endémiques, semblent les plus fortes... Toute cette longue épopée devient de nos jours matière à relativisme, effacement, destruction, telle une nuit de " Cristal ". Le pays s'ouvre aux tempêtes des temps modernes et à l'envahissement par la mer de qui atteindra la côte européenne ou qui, parce qu'il est chrétien et humble sera passé par-dessus bord, afin que le communautarisme arrive seul à bon port avec ses us, ses coutumes et la richesse de ses commanditaires, pour occuper une terre malade de son extravagant endettement.

             Je croyais que ma mémoire avait bu la ciguë jusqu'à la dernière goutte, assaillie par l'arrogance et la haine trompeuse de mes détracteurs déformant la Vérité., distillant le mensonge. Je me trompais une fois de plus. Je n'avais rien compris !
             Ma mémoire est-elle coupable d'appartenir à une vieille France que je respecte, sans avoir le droit d'une petite place dans l'Histoire : la VRAIE ?
             Hélas, je tombe une fois de plus de Charybde et Scylla, sans pouvoir stopper les imprécations qui puent la détestation et se déversent dans un tonneau des Danaïdes sans fond où la Vérité se perd.
             Je suis coupable ! Ma condamnation est irrévocable face à la politique politicienne qui décide et ordonne. Ainsi, après que la manifestation FLN de Paris le 17 octobre 1961 soit déclarée jour du souvenir et que des roses soient jetées dans la Seine, le 19 mars 1962 fut imposé comme cérémonie de fin de guerre.
             Cela suffisait-il à faire de moi un condamné ? Non. Mille fois non ! Avec la ciguë, il me faut boire le calice jusqu'à la lie. Une dernière goutte m'atteint de nouveau.
             Une goutte, mais est-elle la dernière pour effacer ma mémoire de l'Histoire ?
             En effet, un pas de plus vient d'être franchi par le pouvoir socialiste vers cette repentance exigée par le pouvoir despotique de l'Algérie FLN. Le gouvernement français délègue au 70 ieme anniversaire de la manifestation algérienne d'un " massacre " non défini en 1945, à Sétif et Guelma, le secrétaire aux Anciens Combattants. Jean-Marc Todeschini. Il va fleurir un monument qui raconte une fausse histoire. Un drame contraire à la vérité historique qu'en son temps, les communistes français et les rebelles algériens transformèrent en une légende qui perdure et que notre pays va reconnaître comme vérité.
             Un geste ou un acte de forfaiture qui confirme combien le relativisme d'Etat prend ses marques et renie l'histoire ancienne de la France. Avant tout, en oubliant que les actions menées à l'époque étaient le fait d'un gouvernement gaulliste ; ensuite en reléguant le rôle des Anciens Combattants lors de la guerre d'Algérie à une " erreur " française ; enfin, en oubliant les morts européens, les personnes enlevées, torturées et assassinées par les terroristes et les Harkis, abandonnés sur place à la vengeance FLN, durant le drame de la guerre d'Algérie, entre 1954 à 1962.
             Il est un fait. La ciguë qui veut m'éliminer n'a plus de pouvoir sur ma mémoire. Elle continuera son œuvre de défense d'un passé qui ne mérite ni le mépris ni l'oubli.
Robert Charles PUIG / Avril 2015       



LE DERNIER GROGNARD

Par M.José CASTANO, Octobre 2014


« On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années, on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal. Les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l’âme »
(Général Mac Arthur)

       Dans un précédent article consacré à Roger Holeindre, je pensais avoir tout dit sur ce personnage hors du commun qui, sa vie durant, n’eut de cesse de grogner, pestant contre la « connerie humaine », sublimant les souffrances endurées en Indochine, en Algérie et dans les prisons françaises en leçons de sagesse et d’espérance. C’est que Roger ne fut ni un résistant, ni un soldat, ni un journaliste, ni un homme politique comme les autres… Tout au long de sa vie, il ne cessa d’être un « homme libre », un guerrier et un insatisfait permanent… l’apanage du champion. Son credo, il le martèle à l’envi : « Moi, rien ne me fait jamais changer d’idée ni de route. Le vent de l’histoire est une invention marxiste ».

       Son terrain d’action, ce n’est ni le micro, ni la télévision, ni les réunions mondaines. C’est celui où sont tombés nombre de ses camarades… dans les rizières d’Indochine et sur les pentes des djebels. C’est le combat mémoriel pour le rétablissement de la vérité historique, celui aussi des oubliés de l’Empire coloniale français sur lequel on crache depuis un demi-siècle.

       « Seule la vérité peut affronter l'injustice. La vérité ou bien l'amour » écrivait Albert Camus dans « les Justes ». Mais, dans ces temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire que nos « bien-pensants », champions des « droits de l’homme » n’ont eu de cesse de dénoncer.

       « La vie, le malheur, l’isolement, l’abandon, la pauvreté, sont des champs de bataille qui ont leurs héros ; héros obscurs plus grands parfois que les héros illustres » écrivait Victor Hugo dans « Les Misérables ». Roger Holeindre appartient à cette race de héros anonymes qui ont connu la révolte, le vide, le désespoir et le chagrin que les soldats transforment en haine pour pouvoir continuer à être des soldats. Il a connu la bouche sèche, l’exaltation purificatrice purifiée par la peur que donne le combat. Il s’est battu contre l’oppression, contre la tyrannie, pour la sauvegarde de l’Algérie française, pour sa liberté. Il a redécouvert durant ses longues semaines de privations dans le maquis Bonaparte (Constantinois, 1962), comment souffrir et mépriser la souffrance des longues périodes de nuits sans sommeil peuplées de cauchemars, de fatigue, de dépression, d’impatience et d’inconforts. C’est dans ces jours-là qu’il a éprouvé cette fierté profonde, saine et humble… de se sentir un Homme.

       Dans son nouvel ouvrage, « 1935/2015… 80 ans de mensonges et de calomnies… », Roger Holeindre se révèle un « géant » de la littérature patriotique, écrivain à la plume alerte et féconde, au talent reconnu et jamais démenti. Il passe en revue, avec pertinence et lucidité, tous les aspects malheureux de la vie politique française depuis quatre-vingts ans. Sa fine analyse, son vocabulaire nourri, son humour et sa verve ne peuvent qu'emporter, sinon un enthousiasme légitime, du moins la franche adhésion des lecteurs de ce livre de 591 pages paru aux éditions d’Héligoland, BP2 – 27290 PONT-AUTHOU (Prix : 25€).
José CASTANO       
e-mail : joseph.castano0508@orange.fr


       A lire aussi : Roger HOLEINDRE : UN HOMME D'HONNEUR
       Cliquer sur : http://popodoran.canalblog.com/archives/2013/08/25/27894753.html
-o-o-o-o-o-o-o-

       - 30 Avril 1863… Il y a 152 ans : CAMERONE
       Pour lire l’article, cliquez sur : http://jose.castano.over-blog.com/

-o-o-o-o-o-o-o-

       Cérémonie nationale au mémorial à l'Armée d'Afrique à Saint-Raphaël
       5 juin en fin de matinée
       Organisée par le Comité du Souvenir Français de Saint-Raphaël et la commune de Saint-Raphaël
       Cette date anniversaire marque l'entrée victorieuse de l'Armée d'Afrique dans Rome en juin 1944
       Contact : Charles MAGUIN - Tél : 06 63 91 13 20
       Courriel : charlesmaguin@orange.fr
-o-o-o-o-o-o-o-


Lettre envoyée à Pôle Emploi.
Envoyé Par Christian

               
                Je me permets de contester modestement ma radiation de la liste des demandeurs d'emploi, j'ai refusé 3 emplois je le concède mais j'ai des excuses qui me semblent acceptables.

                - La première offre ne correspondait pas à mon profil,
                - La deuxième était rémunérée très au-deçà de ce que je suis en droit d'attendre, toujours en fonction de mon profil,
                - Venons en à cette troisième proposition, certes le salaire est conforme à mon attente, oui le poste correspond à mon profil, mais j'ai refusé et voici ce qui a motivé ce refus :
                - Longtemps j'ai travaillé à Limoges... j'ai été limogé
                - On m'a vanté la mobilité et étant de bonne volonté, j'ai donc retrouvé un emploi à Vire... et j'ai été viré
                - Un miracle s'est produit, j'ai travaillé à Lourdes.... malheureusement j'ai été lourdé.....
                - Vous comprendrez aisément pourquoi je refuse cette place que vous me proposez à Castres......



Photos d'Oran
Envoyées par M. C. Ciantar,


















COMMUNIQUÉ
Par M. H. Jolivet

         Chers confrères et amis,

        Pour info :
        Amalia ESCRIVA (fille de PN d’Oran) à l’origine du reportage vient de communiquer les dates des émissions sur FR3 sur la Vierge de Santa Cruz à Nîmes (et des PN d’Oranie en particulier)
         L’information est à diffuser largement :

        Le 2 mai à 15H20 sur FR3 Roussillon
        et le 11 mai à 23 H 30 dans la case de l’oncle doc Fr 3 national …

        Il y a une projection au cinéma à Nîmes le 27 avril prochain à 20 heures ( au Métropole je crois...)

*****************
MISSION EN ORANIE MARS 2015
Je transmets aux oranais et aux Pieds Noirs !
Que nos morts reposent en paix !
COMPTE RENDU MISSION MARS 2015 EN ORANIE (1).pdf

            



Commémoration et Profanation
Envoyé par Mme Eliane Saurel
Discours de M. Marcel BERTHOMÉ,
Maire de St. Seurin sur l'Isle (33)
le 26 mars 2015

           Nous vivons ensemble un grand moment de profonde émotion, amis et compagnons nous sommes, main dans la main, unis par notre présence aujourd'hui Place du Général SALAN et qui se traduit, en dépit d'une réprobation larvée, par l'irrésistible devoir de mémoire de la Résistance Algérie Française, de ses martyrs, de ses morts tout en honorant la légitimité de leurs derniers combats. Je suis très sensible à vous voir aussi nombreux, beaucoup d'entre vous venant de loin et je suis heureux d'avoir à mes côtés JF COLLIN, Président de l'ADIMAD, l'Association des Anciens Détenus et Exilés Politiques de l'Algérie Française, de Victor SALAN, le Capitaine SALAN, fils du Général SALAN, d'Anne CAZAL, Directrice de la Lettre du VERITAS, organe du combat des français d'Algérie, des présidents et représentants des associations des français d'AFN, des pieds noirs et des Harkis. Bienvenu, à tous. Merci d'être venu aujourd'hui à ST SEURIN.

            Commémorer la douloureuse tragédie d'Alger du 26 Mars 1962, le massacre d'Oran du 5 juillet 62 c'est n'en doutons pas conforter le présent en témoignant de la pérennité des valeurs qui ont guidé en ces temps passés, les officiers, les militaires actifs devenus rebelles pour ne pas se soumettre à des ordres qu'ils jugeaient déshonorants, les civils français et européens, se croyant légitimement trahis et abandonnés, les harkis et supplétifs fidèles à la France jusqu'au bout, les musulmans pro français harcelés par le F.L.N. c'est le moment aussi de rappeler l'Armée d'Afrique avec les contingents de pieds noirs et de musulmans débarquant en Provence en Août 1944 pour libérer la France de l'occupation allemande. Se souvenir du passé, aussi douloureux soit-il c'est donner du sens au présent pour continuer inlassablement à mener des combats quotidiens pour un idéal d'honneur et de fidélité, avec la fierté de l'œuvre accomplie jadis en Algérie dans la pérennité du serment de nos fidèles compagnons écrite de leur sang, victimes aussi de la trahison celle que ne peut justifier aucun motif sinon renier sa parole. Que de politiques l'ont ainsi fait, un premier ministre qui se comportait comme champion de l'Algérie française, qui déclarait : l'abandon de la souveraineté française en Algérie est un acte illégitime qui met ceux qui s'en rendent coupable " hors la loi " et ceux qui s'y opposent quels que soient les moyens employés en état de légitime défense. Peu de temps après il trahissait ses engagements
           Je me rappelle ces jours sombres, nous qui avions connu les temps heureux d'une métropole vivante, dynamique, d'une Algérie française, d'une France avec ses protectorats, ses comptoirs, ses colonies une France rayonnante, conquérante, altruiste. Qu'en reste-t'il aujourd'hui ! un hexagone appauvri dans une Europe déboussolée, qui soumise aux diktat des médias, comme lors des attentats de janvier dernier par exemple, voit son salut dans l'exaltation des valeurs républicaines en réponse au rassemblement de la population dans les rues. Je regrette, mais les valeurs républicaines çà n'existent pas. Il ne faut pas confondre valeurs et principes. La république est un mode d'organisation sociale et politique qui a mis en évidence des figures symboliques mais qui aujourd'hui ne recèle aucune valeur morale, aucune valeur pédagogique ces politiques qui invoquent les valeurs républicaines mais sans jamais les définir.
           Les vraies valeurs, nous les trouvons dans nos unités militaires opérationnelles, dans chaque français qui cultive le mot France, qui cultive l'identité nation. L'honneur, la patrie, le devoir, l'élévation spirituelle, le don de soi,… voilà de vraies valeurs qui appellent à rétablir le service militaire et non le service civique que ne peut donner le sens du devoir à notre jeunesse, qui appellent à prendre en considération le péril qui nous menace, qui appellent à retrouver pour tous les français un véritable idéal, et non vouloir transformer les français en robot, sans mémoire, soumis à toute manipulation, sans phare, sans balise, livré aux caprices imposés par l'air politique du temps.

           Je souhaite comme vous tous ici, une France qui retrouve sa fierté et son prestige. Les victimes de la rue d'Isly, d'Oran et d'ailleurs, les combattants de l'Organisation Secrète Armée. Tous ceux qui ont donné leur vie pour une Algérie française nous demandent de continuer ce combat, ce qui nous conduit à rendre hommage au Général SALAN, le Chef que nous n'oublions pas.
           Si son nom est associé dans la plupart des mémoires au Putsch de 1961 et à l'OAS, je souhaite exalter encore et encore sa prestigieuse carrière, de la guerre de 1914-18, à la seconde guerre mondiale, aux guerres d'Indochine et d'Algérie, de longues et glorieuses pages d'histoire de la vie d'un grand soldat au service de la France
           Nos souvenirs et nos espérances vivront toujours en nos cœurs.
           Vive la Vraie FRANCE

*************
Saint-Seurin-Sur-L'Isle
Stèles profanées.

           C'est probablement un acte courageux puisqu'il n'est pas signé.
           Monsieur Marcel Berthomé, maire du village de Saint-Seurin-Sur-L'Isle organise chaque année le 26 mars, une commémoration :
           Stèle du Général Salan
           Stèle pour les victimes de la Guerre d'Algérie,
           Nous avons déjà vu les photos de cette commémoration émouvante, où une grande foule vient se recueillir fidèlement.
           Il y a quelques jours, de lâches vandales sont venus profaner ces stèles.
           Qui sont ces vandales ? gauchos, extrêmes-gauchos ? favorables au 19 mars ? nous sommes en droit de nous poser des questions.
           Nous devons apporter notre soutien sans faille à Monsieur Berthomé.

           Tous nos gouvernements successifs ferment les yeux. Je vous laisse témoins de faits réalisés encore de nos jours par les mêmes gens, les mêmes traîtres, ceux qui ont laissé les massacres du 26 mars 1962 à Alger et le 05 juillet 1962 à Oran.



           


Le chant de la colline
Envoyée par M. Vitus


Au pied des collines endormies
Un couple amoureux échappé de la ville
S’en est venu sous l’Espigoulier
Ecouter de tout près le vent dans les pins
Fouler une neige de substance unique
Observer un ciel où se devine Dieu
Parler aux cigales qui n’en peuvent mais
Se baigner dans l’eau d’un paradis terrestre
Voir grandir deux fils à l’abri du vieux monde
Et sentir monter en eux la solitude
Qui les établira princes de leur vie.

Laisser couler sa vie ici
Est le plus sûr moyen pendant cinquante ans
De garder frais et joyeux ses vingt cinq ans;
Chamades de rossignols et d’hirondelles
Festival de landes beurrées de soleil
Quand la fin de l’été fait poindre ses rouilles ;
En fermant les yeux on entend dans les herbes
Descendre les troupeaux et la voix des pâtres,
Se disputer bruyamment pies et moineaux
Dans les gémissements de la terre tiède,
Le ventre bleu du soir s’endort à la crête
Et lui répond au matin sur l’autre crête
La joue fraîche et jaune d’un soleil en forme;

Ici c’est la paix du cœur qui ne veut rien
Figé dans le bonheur du temps arrêté
Figé dans le gel ou dans la canicule
Le temps suspendu en des mains éternelles
Le temps qui ne sait rien, le temps qui sait tout
Et la vie qui s’écoule au fil d’un cours d’eau,
Des provisions de blé au grenier du cœur
Le bruit du vent qui passe dans les feuillages
Et qui apprend aux feuilles des pas de danse
L’odeur amoureuse des fleurs de châtaigne
Et les mousses des collines au creux des mains
Quand l’hiver donne à la terre un air de cuivre
Que le ciel est lisse et dur à l’horizon
Et qu’on hume l’air comme un vent de grand large
Et le gris du soir qui marie terre et ciel,
Un univers fraternel peuplé d’amis,
L’amour de la vie dans le cœur de Quentin
Chaque temps béni entre soir et matin
Une lueur tendre aux yeux de Jérémie.
Vitus           

        



GENOCIDE !
Envoyé Par M C. Migliaccio

23 avril 2015
              " La France a commis un génocide en Algérie. Vous avez torturé des Algériens, vous les avez assassinés "
              Interpellé sur un plateau de télévision (Canal +) par des jeunes des banlieues, de pseudos français d'origine algérienne ont récité des leçons apprises auprès de prétendus historiens qui rejettent toute l'œuvre de la France, qui a fait de cette terre sans nom, inculte, riche de marécages pestilentiels, l'un des plus beaux pays de la Méditerranée.
              Génocide ?
              Oui, génocide en ce qui concerne les Incas, les Mayas, les peaux-rouges d'Amérique, les Arméniens, hier les juifs et aujourd'hui les chrétiens d'Orient, mais comment peuvent-ils, toute honte bue, parler de génocide par la France du peuple maghrébin alors qu'il y avait moins de 1.500.000 arabo-berbères en 1830, lors de la conquête, un million et demi d'esclaves rançonnés par des pillards, rongés par toutes les maladies.

              Deux recensements expliquent ce soi-disant génocide spectaculaire :
              1856 - 2.307.350 musulmans.
              1954 - 8.670.000 musulmans.
              Et plus de 9 millions en 1962, lors de l'indépendance.
              (Non comptabilisés bien entendu les millions d'Algériens que la France aurait massacrés, selon eux, durant ces 130 années d'occupation colonialiste meurtrière).

              Comment un président de la République peut-il entendre de pareilles absurdités et rester sans réaction aucune ?
              Comment un président de la République peut-il accepter que son pays soit insulté, bafoué, sans riposter avec violence ?
              Je ne voudrais pas être grossier et c'est la raison pour laquelle je ne trouve pas de mot assez dur pour qualifier un pareil comportement, une telle lâcheté, d'un président et de son gouvernement, qui autorisent toutes les outrances écrites et verbales de ceux qui haïssent la France et profitent de ses bienfaits depuis des décennies.

              Et cette lâcheté n'est pas uniquement socialiste, elle date de Jacques Chirac, dans les années 1990 et s'est poursuivie, hélas ! avec Nicolas Sarkozy.

              Dois-je rappeler que les plus grands massacres de musulmans ont été, et sont toujours, l'œuvre des musulmans eux-mêmes. Hier le FLN et l'ALN, ensuite le FIS, les Frères musulmans et aujourd'hui l'Etat Islamique, Al Qaïda, Boko Haram, etc.

              Les Algériens sont hostiles à la France colonialiste ? Qu'ils restent donc chez eux, dans ce beau pays qu'ils se sont employés à défaire depuis cinquante ans. Mais, puisqu'apparemment ce n'est pas le cas pour des millions d'entre eux, s'ils viennent en France, au moins qu'ils aient la pudeur de se taire, de la fermer !

              Qu'ils gardent en mémoire ces paroles de Mouloud Feraoun : " Tant que l'Algérie vivra je souhaite qu'elle se souvienne de la France et de tout ce qu'elle lui doit ".
Manuel Gomez         
http://www.dreuz.info/2015/04/la-france-a-commis-un-genocide-en-algerie-vous-avez-torture-des-algeriens-vous-les-avez-assassines/

              


Chronique de Mgr BATUT (Radio Chrétienne de France)
Envoyé par Mme Annie Bouhier

                Il est vrai que notre triste président n'a aucun sens des réalités et aucun sentiment pour les souffrances des autres et leurs raisons véritables...
                Seul compte son bon plaisir et son ambition et rien ne le trouble dans l'incroyable série d'erreurs qu'il commet depuis 3 ans... .

Enfin un évêque qui a retrouvé le sens de la parole !


                CHRONIQUE RCF BLOIS 20 fév 2015 : «Nommer les victimes»

                Il y a quatre-vingts ans, en Allemagne, le régime nazi persécutait les Juifs, et la volonté d’Hitler était de les supprimer tous. Pourquoi ? Simplement parce qu’ils étaient juifs, et pour aucune autre raison.

                Il y a trois jours, le groupe Daech en Lybie décapitait froidement 21 coptes égyptiens.
                Pourquoi ?
                Pas parce qu’ils étaient égyptiens, mais parce qu’ils étaient coptes, c’est-à-dire chrétiens, et pour aucune autre raison.
                Au cas où on en aurait douté, ceux qui ont vu la vidéo diffusée sur internet pouvaient y lire que ces 21 malheureux étaient mis à mort parce qu’ils faisaient partie, je cite, « du peuple de la croix fidèle à l’Église égyptienne ennemie. »

                C’est pourquoi personne ne peut être fier du communiqué de l’Élysée condamnant, je cite, « avec la plus grande fermeté l’assassinat sauvage de 21 ressortissants égyptiens ». Non, personne ne peut être fier de ce communiqué, parce qu’il ne fait pas honneur à notre pays.

                Comme l’a rappelé Mgr Pascal Gollnisch, directeur de l’Œuvre d’Orient :
                « Quand on porte atteinte à des juifs danois ou français, il est bien sûr important de rappeler qu’ils sont danois ou français, mais il faut aussi souligner qu’ils ont été tués parce que juifs. En Libye, il est très clair que c’est contre des chrétiens que Daech a voulu agir, que leur foi était visée ».

                D’où vient le fait qu’il paraît impossible à certains de nos dirigeants de reconnaître qu’il y a des pays où les chrétiens sont persécutés ou même assassinés parce qu’ils sont chrétiens, et non parce qu’ils sont égyptiens ou libyens ? Reconnaître cela serait-ce attentatoire à la laïcité ? J’affirme aujourd’hui haut et fort que si – ce qu’à Dieu ne plaise – certaines personnes le pensent, même et surtout si elles ont de hautes responsabilités au sommet de l’État, ce n’est pas à leur honneur, ni à l’honneur de la France. Et la situation du monde est trop grave en ce moment pour que, chrétiens ou non, nous puissions nous résigner à avoir honte de notre pays.

† Jean-Pierre BATUT                      
Évêque de Blois                      
   



Explosion et banalisation des actes
antichrétiens en France
depuis le début de l'année   

Envoyé Par Christian Migliaccio

45 ÉGLISES PROFANÉES en FRANCE du 1er JANVIER au 15 FÉVRIER 2015 : 1 PAR JOUR ! : SILENCE DES MÉDIAS…
                  
                  Dans un silence médiatique assourdissant, les chrétiens français subissent jour après jour des attaques qui visent leurs lieux de cultes. Nombreuses (pas moins de 45 pour le seul mois de janvier), ces attaques ne sont relayées (dans le meilleur des cas) que par la presse quotidienne régionale et leur médiatisation ne franchit pas le mur des chaînes de télévision. En raison de l'indifférence des pouvoirs publics, les moyens mis en œuvre pour retrouver les coupables sont bien souvent dérisoires. La christianophobie ordinaire est de plus en plus courante et parfaitement impunie. Seul règne le silence le plus complet de nos gouvernants, de nos médias en général, et des associations antiracistes... pourtant si promptes à réagir lorsque des faits similaires se produisent dans une mosquée ou une synagogue. Si nous condamnons fermement l'acte odieux qui a touché la communauté juive hier (profanation de tombes juives dans le Bas-Rhin), nous regrettons que le Président de la République s'émeuve seulement des actes islamophobes et antisémites qui touchent notre pays, sans verser de larmes, ni même commenter l'actualité lorsqu'il s'agit de lieux sacrés du christianisme, religion fondatrice de la France.

                   Voici un panorama non-exhaustif de cette " christianophobie ordinaire " en 2015 :
                  - Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, le calvaire de l'église de Cabourg (Calvados) est vandalisé
                  - Le 1er janvier 2015, ce sont les statues de l'église Notre-Dame de Bressuire (Deux-Sèvres) qui subissent le même sort.
                  - Dans la nuit du 3-4 janvier, à Plouguernével (Côte d'Armor), le porche de l'église Saint-Pierre est souillé quand, au même moment, des tags sont retrouvés sur l'église Notre-Dame-La-Grande à Poitiers (Vienne).
                  - En ce début du mois de janvier 2015, à Capestan (Hérault) les vitraux de la collégiale Saint-Étienne sont dégradés. Le 7 janvier, ces actes de vandalismes touchaient l'abbatiale de Gaillac (Tarn) et l'église Saint-Hilaire à Rouillé (Vienne).
                  - Le 8 janvier, des vols et actes de vandalisme sont signalés à l'église Saint-Pierre de Blagnac (Haute-Garonne).
                  - Le 10 janvier, à Barbizon (Seine-et-Marne), la chapelle du Pôle missionnaire est profanée, la porte du tabernacle brisée, le ciboire et les hosties jetés au sol. Toujours le 10 janvier, à Agen (Lot-et-Garonne), la crèche de l'église Notre-Dame-du-Bourg est saccagée, l'église orthodoxe roumaine de Rennes (Ille-et-Vilaine), taguée.
                  - Dans la nuit du 10 au 11 janvier, la façade de l'église Notre-Dame de Saint-Maurice-de-Beynost (Ain) essuie des jets de pavés, puis, la nuit suivante, au Château d'Oléron (Charente-Maritime), l'église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption est victime d'actes de vandalisme et d'une tentative d'incendie. Le même jour, on profane des tombes chrétiennes à Ryes (Calvados) et des dégradations similaires sont relevées dans deux autres cimetières du Bessin.
                  - Le 14 janvier, l'abbatiale Saint-Pierre de Moissac (Tarn-et-Garonne) est profanée et pillée.
                  - Avec pas moins de trois départs d'incendies, ce vandalisme ordinaire touche également l'église Notre-Dame de l'Assomption au Teil (Ardèche), le 21 janvier.
                  - Dans la nuit du 24 au 25 janvier, on tague les murs de l'église Sainte-Marie Notre-Dame à Sumène (Gard) Sumène.
                  - Le 25 janvier, l'église Notre-Dame de Vierzon (cher) est profanée, son tabernacle fracturé et son ciboire volé, tandis que le même jour, un incendie criminel avec trois départs de feu touche l'église de Saint-Christophe-du-Bois (Maine-et-Loire).
                  - Le 29 janvier les murs extérieurs de l'église Saint-Étienne à Tours (Indre-et-Loire) sont recouverts de tags anarchistes. Le 30 janvier à Montréjeau (Haute-Garonne), les troncs de l'église sont pillés pendant qu'une école privée catholique de Nancy (Meurthe-et-Moselle) est recouverte de tags.
                  - Le 5 février, après avoir menacé une bénévole de paroisse de la collégiale Saint-Martin de Saint-Rémy-de-Provence, un homme se livre à un saccage, renverse les bougies, casse des bancs et brise la pierre d'Autel.
                  - Dans la nuit du 6 au 7 février, une vingtaine de tombes sont vandalisées (croix arrachées notamment) au cimetière communal de Sevran.
                  - Le 8 février, c'est l'église Notre-Dame de l'Assomption d'Orgelet (Jura) qui est à son tour profanée.
                  - Le 10 février, des vols sont commis dans les troncs de l'église catholique Saint-Saturnin de Pompignan (Gard).
                  - À Port Leucate (Aude), le mur extérieur de l'église Saint-Jacques est souillé par des tags le 12 février.
                  - Entre le 6 et le 8 février derniers, pas moins de 5 profanations sont constatés dans l'Ain, à l'église Saint-Maurice de Neuville-les-Dames, à l'église Notre-Dame d'Ambronay, à l'église Saint-Martin de Vonnas, à l'église Saint-Étienne de Jujurieux et dans la collégiale Notre-Dame-des-Marais de Montluel.
    

Pour une fois ils ont raison les musulmans!!!
Envoyé par Eliane
                            Un imam et un curé se trouvent à partager le compartiment d'un train.
              Au bout d'un moment, le curé ferme sa bible et demande à l'imam :
              "-Dites-moi, votre religion vous interdit de manger du porc.
              Mais vous est-il arrivé d'en goûter ? "
              L' imam referme le coran et répond :
              " -Je dois vous dire la vérité : oui, à de rares occasions ...
              Mais à mon tour, je vous pose une question : votre religion vous impose le célibat..."

              Le curé l'interrompt et dit :
              "-Je sais ce que vous allez me demander, est-ce que j'ai goûté au fruit défendu?
              Et bien, comme je me dois aussi de dire la vérité : oui, une fois ou deux, j'ai goûté."

              Ils reprirent tous deux leurs lectures, puis l'imam baissa à nouveau son coran, regarda le curé, et lui dit avec un clin d’œil:
              "- C'est meilleur que le cochon, hein ? "



Sétif, 8 mai 1945
Envoyé Par divers internautes

Actualité du secours de France

http://www.secoursdefrance.com/images/stories/pdf/NL_SDF_201504.pdf

“Tuez les chrétiens, les juifs et tous les non-croyants!

         Cet appel au génocide racial et religieux, c’est le cri qui retentit aujourd’hui chaque jour, assortis de terrifiants massacres, dans tous les territoires tombés sous la coupe du fanatisme néo, rétro ou pseudo islamique au Sud de la Méditerranée.
         Un cri qui s’est élevé pour la première fois voici 70 ans, le 8 mai 1945, dans le département français de Constantine en Algérie, où 102 Européens furent dépecés, éventrés, émasculés par les terroristes du PPA (Parti du Peuple Algérien).

         Voici comment les choses se sont passées à Sétif, après que le Commissaire Olivieri eut tenté d’arracher un drapeau anti-français des mains d’un dirigeant du PPA :
         “Le Commissaire est alors bousculé, jeté à terre au milieu d’indigènes hargneux et menaçants : Ouktelhou, eddeblhou ! – Tuez-le, égorgez-le ! Un des meneurs sort un pistolet ; le Commissaire, craignant pour sa vie, tire un coup de feu en l’air. Immédiatement, un second coup de feu éclate, tiré du cortège. On entend un hurlement : c’est la petite Nakache qui se trouve avec ses parents et qui vient d’être mortellement blessée devant le café de France. Elle est la première victime.

         “C’est le signal de l’émeute, la ruée dans les rues de la ville pour tuer les Européens. Les armes sortent de dessous les djellabas et les burnous. Tout sert de projectiles : les tables, les chaises, les carafes et les verres volent à travers les arcades. Les Européens se réfugient dans les commerces, dans les couloirs d’immeubles, chez les particuliers qui leur ouvrent leurs portes. La masse des manifestants s’engouffre dans toutes les rues du centre ville. C’est la chasse aux Roumis qui commence, malheur à ceux qui ne trouvent pas de refuge, ils sont entourés, abattus à coups de débous sur la tête, exécutés au couteau, sauvagement achevés. Tout cela, avec les youyou stridents des femmes musulmanes encourageant ainsi ces atroces et lâches assassinats d’Européens désarmés. Les assaillants sont armés de débous, dont certains avaient été munis de lames de rasoirs, de boussaadis, de hachoirs, de faucilles, de haches, de pierres apportées par pleins couffins. Les meneurs possèdent quelques armes à feu. Les Européens sont assassinés avec une sauvagerie indescriptible ; certains sont éventrés, émasculés, le crâne écrasé à coups de pierres. (…)

         “La ville résonne des coups de matraques sur les rideaux métalliques, sur les portes et les fenêtres, des cris sauvages, des injures et des imprécations des assassins, des supplications et des hurlements des victimes. L’intervention, bien tardive, de l’armée, met en fuite ces hordes barbares qui laissent derrière elles un spectacle abominable. Des corps affreusement mutilés et méconnaissables gisent par terre, dans de grandes flaques de sang noirâtre où les mouches s’agglutinent.”
         (Maurice Villard : La Vérité sur l’insurrection du 8 mai 1945 dans le Constantinois, Amicale des Hauts-Plateaux de Sétif, 1997.)

         La riposte militaire au massacre de Sétif, importante et réelle, n’eut pas l’ampleur que lui donnèrent par la suite les nationalistes algériens. Ce qui n’empêchera pas M. Jean-Marc Todeschini, Secrétaire d’État aux Anciens Combattants, de se rendre ce mois-ci en Algérie pour participer aux côtés des autorités algériennes au 70ème anniversaire de la “répression de Sétif”, exemple emblématique de “la barbarie coloniale française” selon M. Bouteflika ! Repentance oblige… Il n’est pas prévu que M. Todeschini fasse le moindre détour pour s’incliner une seconde sur les lieux de massacre des innombrables victimes militaires, Pieds-Noirs et Harkis de la guerre d’Algérie.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

UNION NATIONALE DES COMBATTANTS

Fondée en 1917 ;
Reconnue d’utilité publique par Décret du 20 mai 1920

VISITE INOPPORTUNE DE M. TODESCHINI
SECRETAIRE D’ETAT CHARGE DES ANCIENS
COMBATTANTS EN ALGERIE

         L’Union Nationale des Combattants a appris avec stupeur l’annonce du prochain voyage du Secrétaire d’Etat chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire en Algérie du 19 au 21 avril prochain pour participer à la commémoration du massacre de Sétif du 8 mai 1945.

         Elle tient à faire connaître sa totale réprobation vis-à-vis de ce « voyage mémoriel (sic) » qui, en aucun cas ne contribue à apaiser la mémoire mais bien au contraire s’inscrit dans une démarche supplémentaire de repentance de notre pays, démarche que l’UNC condamne totalement et qu’elle avait déjà dénoncé lors d’un communiqué du Secrétaire d’Etat en décembre dernier.

         La présence d’un membre du gouvernement de la France à une cérémonie où notre pays court le risque d’être une fois de plus vilipendé et invité à s’excuser constitue de nouveau pour les anciens combattants, les harkis et les pieds-noirs une provocation inacceptable.

         Elle estime que nos relations avec l’Algérie devraient s’inspirer davantage d’une mémoire partagée où chacun assumerait réciproquement ses zones d’ombres tout en traçant pour l’avenir une coopération solidaire pour faire face à la menace commune, à savoir le terrorisme.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

70 ans après, ces faits sont prémonitoires.

Pierre Barisain

Rappelons pour ceux qui ont la mémoire courte ou sélective que les massacres de Sétif du 8 mai 1945 se sont déroulés avec De Gaulle au pouvoir à Paris, à la tête du premier Gouvernement provisoire de la République et 2 ministres communistes dont celui de l'Air, Charles Tillon, qui bombarda les populations du bled en rébellion.

         A Sétif même, le Commissaire de Police Lucien Olivieri et 2 inspecteurs en tout, Raoul Haas et Norbert Fons, eurent à faire face à 7 à 8000 manifestants armés de matraques et de boussaadis malgré leurs promesses, et le premier coup de feu parti de cette foule tua non pas un scout arabe mais une petite fille de 8 ans, juive, qui donnait la main à son père et regardait le défilé, Arlette Nakache. Il y eut 103 morts européens et 150 blessés ( 800 musulmans fidèles à la France furent aussi tués par les émeutiers) et l'Inspecteur des PTT Albert Denier, connu des émeutiers car il vendait le journal du PC "Liberté", eut les 2 bras coupés. A Guelma, les 2000 manifestants furent encore plus menaçants et comme les troupes étaient rares, car encore en Allemagne, le sous préfet André Achiary, un résistant gaulliste, constitua des milices armées, essentiellement une centaine d'élus, SFIO en particulier, européens équipés de 70 fusils. Les pancartes des Arabes manifestants de Guelma indiquaient: " libérez Messali ! " et A bas le parti communiste!". Ils obéissaient à des mots d'ordre, lancés depuis radio le Caire, qui prêchaient déjà le Djihad et l'arrivée du Mahdi.

         A Djidjelli, les troupes sénégalaises avaient des fusils mais aucune munition. Ils durent charger à la baïonnette, ce qui stoppa la manif.
         De Gaulle fit bombarder les gorges de Kerrata par la Marine de guerre, le "Chasseur 94", et déclara : " j'ai fait donner la Marine". Le croiseur: le Triomphant sauva des personnes encerclées le long de la Corniche kabyle.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

POUR ÊTRE AU CŒUR DES VERITES
LIZEZ LES DOCUMENTS CI-DESSOUS


Dossier : 8 mai 1945.
L'insurrection de Sétif.

http://www.seybouse.info/seybouse/infos_diverses/mise_a_jour/setif/setif-sommaire.html

0000000000000

Mémorandum
Les « événements » de Sétif, en mai 1945
Les Cahiers de la Mémoire
Roger Benmebarek, Préfet honoraire

http://www.seybouse.info/seybouse/infos_diverses/mise_a_jour/setif/roger-benmebarek.pdf

0000000000000

Lisez "les massacres du 8 mai 1945: Sétif -Guelma- le Constantinois". de Maurice Villard, analyse et recueil de témoignages vécus et de première main.

Les massacres du 8 mai 1945
Sétif-Guelma-Le Constantinois
début de 17 années de guerre en Algérie

VILLARD (Maurice)
                  Date de parution: 2010-04-01
         Editeur: Amicale des Hauts Plateaux de Sétif
         ISBN: 00102561
         Nb de pages: 456
         Avis des lecteurs

         Le 8 mai 1945, le Cheik des Oulémas Chekib Arslam déclare la guerre à la France. Il proclame le djihad, demande à tous les Arabo-Islamiques de détruire les biens des Européens, de les exterminer, de les chasser hors des rives Sud de la Méditerranée, afin de constituer une république Arabe islamique.

         Aussitôt toute la province de Constantine entre en dissidence. Des dizaines de milliers d'indigènes fanatisés à l'appel du djihad encerclent les villes, les villages, les fermes isolées, massacrent les Européens.

         Des actes ignobles, d'une violence et d'une sauvagerie inexprimable, sont commis. C'est la chasse aux roumis désarmés. Les massacres, les viols, les incendies, les destructions, les pillages, toute la région est à feu et à sang. Les musulmans fidèles à la France paient un lourd tribu, plus de huit cents d'entre eux sont assassinés.

         C'est la guerre d'Algérie qui va durer 17 années se terminant par la victoire totale des Islamiques chassant les chrétiens de toute l'Afrique du Nord.

         Maurice Villard, l'auteur de cet ouvrage, originaire des "Hautes Plaines de la région de Sétif, descendant des pionniers rénovateurs de la prospérité de ces lieux, pratiquant la langue des habitants a été le témoin oculaire de la journée du 8 mai 1945 à Sétif.

         Il retrace par des faits précis et réels, étayés de plus de 120 témoignages irréfutables de familles du Constantinois ayant vécu ces journées dramatiques, le déroulement de cette semaine sanglante.

         Il démontre la préméditation, la préparation et l'organisation des indépendantistes dont le but est le déclenchement d'une guerre visant à l'élimination totale de la France et des chrétiens de l'Afrique du Nord.

         Il commente le rétablissement de l'ordre grâce à l'action du Général Duval qui, avec des moyens très réduits sauve une situation désespérée évitant l'embrasement général de toute l'Algérie et rétablissant provisoirement la Paix et la sécurité.

         Il présente tous les acteurs participants à ce drame, les chiffres des victimes, tous les différents lieux où se sont déroulées les attaques et les destructions.

         Il donne les rapports des différentes commissions d'investigations dépêchées sur les lieux afin d'enquêter sur les circonstances et le chiffre des victimes.
         Il donne la description intégrale, choquante, des actes abominables commis par les insurgés musulmans afin de mettre un terme à la scandaleuse désinformation qui tend à vouloir faire passer ces odieux assassins pour des victimes.
         L'ouvrage est illustré de plus de 90 photos.

         Cet ouvrage est la réédition de La Vérité sur l'Insurrection du 8 mai 1945 dans le Constantinois complété par de nouveaux témoignages, documents et photos

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

A propos du 8 mai 1945 à SETIF

         (Source Général (2s) Maurice FAIVRE, Président la CFHM) Message important pour les historiens et personnes destinataires

         La Commission française d'Histoire militaire (CFHM) a demandé aux historiens compétents de faire le point sur les manifestations du 8 mai 1945 à Sétif.
         Le professeur Guy PERVILLE a adressé à des personnalités de l'Elysée et du ministère de la Défense une relation détaillée des faits, qui est résumée dans le communiqué ci-dessous par quatre historiens.
         Il est demandé aux historiens et personnes destinataires de cosigner ce communiqué avant le 8 mai.
         Le même message a été adressé aux dirigeants d'associations.

         Le Conseil de PARIS a voté une motion qui soutient que « la très grande majorité des historiens français » ayant écrit sur la répression de l’insurrection du 8 mai 1945 « atteste d’un bilan de dizaines de milliers de victimes arrêtées, torturées et exécutées sommairement». Les historiens et chercheurs ne peuvent consentir à se laisser ainsi utiliser à l’appui de manœuvres politico-mémorielles.
         Nous demandons que les élus et les gouvernants acceptent de lire ce que les historiens disent de ces événements. Qu’ils lisent donc Charles-André JULIEN, Charles-Robert AGERON, Mohammed HARBI, Annie REY-GOLDZEIGUER, Bernard LUGAN, Gilbert MEYNIER, Roger BENMEBAREK, Guy PERVILLE, Jean-Pierre PEYROULOU, Roger VETILLARD…
         Ils sauraient alors que l’explosion de violence de mai 1945 avait pour origine un projet d’insurrection nationaliste (Harbi, Rey-Goldzeiguer) dans le but d’installer dans une « zone libérée » un gouvernement provisoire algérien présidé par MESSALI Hadj principal dirigeant du Parti du Peuple Algérien. Ce gouvernement devait siéger à la ferme MAÏZA près de SETIF (Benmebarek, Vétillard). Mais l’évasion ratée de MESSALI qui était en résidence surveillée à REIBELL et son transfert à BRAZZAVILLE ont modifié ces plans.
         L’émeute de SETIF n’est pas due à l’indignation provoquée parmi les manifestants par la mort du porte-drapeau Saâl BOUZID mais à une véritable insurrection armée qui a fait 23 morts et 80 blessés européens à SETIF dont le régisseur du marché Gaston GOURLIER tué 2 heures avant le début de la manifestation (Vétillard) et d’autres par armes à feu dans les minutes qui ont suivi les altercations entre forces de l’ordre et manifestants. Les forces de l’ordre interviennent et ramènent le calme en moins de 2 heures : 35 manifestants sont tués, des dizaines sont blessés.
         Au même moment, et dans plusieurs endroits, parfois sans lien évident avec la manifestation de Sétif, d’autres soulèvements ont lieu dans une vingtaine de localités de la région (PERIGOTVILLE, CHEVREUL, KERRATA, LAFAYETTE, SILLEGUE, EL OURICIA…) : plus de 60 Européens sont tués.
         A GUELMA, la manifestation interdite débute à 18 heures et se heurte aux forces de police. Le porte-drapeau est tué, plusieurs manifestants, 2 policiers et 1 gendarme sont blessés. Le lendemain, dans une dizaine de villages de la région, les Européens sont agressés. Il y aura 12 morts et 2 blessés. Le sous-préfet met en place une milice civile car l’armée ne participe pas au maintien de l’ordre. Ce sont les agissements de cette milice dans les jours qui suivent qui sont présentés depuis 70 ans par la propagande du PPA comme le parangon de la répression de ces journées de mai 1945. Une milice n’a été organisée que dans 5 autres localités. A CONSTANTINE, BÔNE, DJIDJELLI et EL MILIA, elles ne sont pas intervenues et n’ont commis aucune exaction. A SAINT-ARNAUD, des rumeurs accusatrices la concernant ont été entendues, mais aucune preuve ne peut être retenue.
         La répression ne débute que le 9 mai. Elle concerne les communes où les Européens ont été visés. Elle sera démesurée, conduite par l’armée et également par la milice civile de GUELMA (Peyroulou, Vétillard). Les effectifs de la police nationale à SETIF ne sont que de 40 hommes. Dans les villages la police et l’armée sont absentes, les gendarmeries ne sont représentées que par 3 ou 4 hommes à KERRATA, CHEVREUL et LAFAYETTE. Des renforts arrivent du Maroc, de Tunisie et d’Alger : 10000 hommes sont déployés dans le Constantinois mais seulement 3700 dans la subdivision de SETIF, la plus vaste (sa surface est l’équivalent de 2 départements métropolitains), le plus montagneuse et la plus touchée.
         Et il faut bien conclure que la propagande diffusée depuis 70 ans par le PPA, puis par le FLN, et relancée en mai 1990 par la Fondation du 8 mai 1945, a toujours déformé la réalité des faits historiques en escamotant cette insurrection pour ne parler que de la répression qu’elle a engendrée et pour majorer inconsidérément le nombre des victimes que les historiens déjà cités et bien d’autres évaluent entre 3 000 et 8 000
         Les médias semblent avoir oublié qu’en 1945 le Parti communiste qui participait alors au gouvernement de la France dirigé par le général De Gaulle, a lancé un appel à la répression comme en témoigne un tract distribué le 12 mai en Algérie dans lequel il demandait de « passer par les armes les instigateurs de la révolte et les hommes de main qui ont dirigé l’émeute. Il ne s’agit pas de vengeance, ni de représailles. Il s’agit de mesures de justice. Il s’agit de mesures de sécurité pour le pays » ?
         Ce qui s’est passé en Algérie en mai 1945 est donc bien connu des historiens et très éloigné de l’histoire officielle algérienne complaisamment relayée par la classe politico-médiatique qui pourtant déclare qu’il faut laisser les historiens travailler sur les épisodes de la présence française en Algérie mais qui ne se soucie guère de connaître les résultats de leurs travaux..
Signés :   François Cochet      Maurice Faivre      Guy Pervillé       Roger Vétillard


         SOURCE : Jean-Claude ROSSO : INFO 533


§§§§§§§§§§§§§§§§§§§


         JEAN PIERRE LLEDO

         8 mai 1945 : de nouvelles histoires à ne pas dire…

         Dans Algérie, histoires à ne pas dire, pour la première fois au cinéma, des Algériens musulmans racontaient les massacres qu’ils ont commis à l’encontre de civils européens pendant la guerre d’Algérie (1954-1962).
         Le livre-DVD Grand-Père a tué deux « colons » révèle de nouvelles "histoires à ne pas dire" qui se situent pendant l’insurrection manquée du 8 mai 1945 dans la région de Chevreul (Béni-Aziz). Ahmed Zir, le protagoniste de ces séquences, part à la recherche de l’histoire de son grand-père : celui-ci a-t-il vraiment tué deux colons avant d’être exécuté à son tour par l’armée française ?
         Plusieurs témoins musulmans évoquent avec gêne le sort déshonorant que les insurgés réservaient à leurs victimes européennes dans ce véritable Djihad. Un chef local avoue aussi avoir été sauvé in extremis de l’exécution par son employeur pied-noir, lors d’une action de riposte de l’armée française.

         En faisant voler en éclats l’histoire officielle algérienne de mai 1945, ce livre-DVD est un hommage à toutes les victimes innocentes– celles de l’insurrection musulmane, tout comme celles de la répression par l’armée française.


Livre + DVD

         Jean-Pierre Lledo est né en 1947 à Tlemcen. Algérien depuis le 6e siècle avant l’ère commune, par ses ancêtres mater­nels juifs, et depuis 1848, par les paternels catalans.
         Suite aux menaces islamistes, Jean-Pierre Lledo a dû quitter l’Algérie en 1993. Depuis, il a réalisé plusieurs films docu­men­­taires liés aux réalités multiethniques de l’Algérie d’avant 1962, mémoires refoulées par l’histoire officielle.


Collection France-Algérie    34
ISBN 978-3-932711-34-3              € 28



SOURCE : Jean-Claude ROSSO : INFO 533


§§§§§§§§§§§§§§§§§§§


LIVRE D'OR de 1914-1918
des BÔNOIS et ALENTOURS

Par J.C. Stella et J.P. Bartolini

             Tous les morts de 1914-1918 enregistrés sur le Département de Bône méritaient un hommage qui nous avait été demandé et avec Jean Claude Stella nous l'avons mis en oeuvre.
             Jean Claude a effectué toutes les recherches et il continu. J'ai crée les pages nécessaires pour les villes ci-dessous et je viens d'ajouter Petit, Clauzel, Guelât Bou Sba, Héliopolis, des pages qui seront complétées plus tard par les tous actes d'état civil que nous pourrons obtenir.
             Vous, Lecteurs et Amis, vous pouvez nous aider. En effet, vous verrez que quelques fiches sont agrémentées de photos, et si par hasard vous avez des photos de ces morts ou de leurs tombes, nous serions heureux de pouvoir les insérer.
             De même si vous habitez près de Nécropoles où sont enterrés nos morts et si vous avez la possibilité de vous y rendre pour photographier des tombes concernées ou des ossuaires, nous vous en serons très reconnaissant.
             Ce travail fait pour Bône, Aïn-Mokra, Bugeaud, Duvivier, Duzerville, Herbillon, Kellermann, Milesimo, Mondovi, Morris, Nechmeya, Penthièvre, Randon, Kellermann et Millesimo, va être fait pour d'autres communes de la région de Bône.
POUR VISITER le "LIVRE D'OR des BÔNOIS de 1914-1918" et ceux des villages alentours :
CLIQUER sur ces adresses : Pour Bône:
http://www.livredor-bonois.net

             Le site officiel de l'Etat a été d'une très grande utilité et nous en remercions ceux qui l'entretiennent ainsi que le ministère des Anciens Combattants qui m'a octroyé la licence parce que le site est à but non lucratif et n'est lié à aucun organisme lucratif, seule la mémoire compte :                          J.C. Stella et J.P.Bartolini.
 


NOUVELLES de LÁ-BAS
Envoyées d'Algérie

Pourquoi les salafistes algériens ont marché sur Alger ?
Envoyé par Pierre
http://www.liberte-algerie.com/chronique/pourquoi-les-salafistes-algeriens-ont-marche-sur-alger-247


Liberté Algérie.com le 19-03-2015 l Par : Amine Zaoui

           Parce que l’islam d’aujourd’hui a été vidé de toutes cultures universelles ; le musulman, le bon croyant, à son tour, s’est trouvé conditionné, automate. C’est triste, mais c’est la réalité amère. Pourquoi est-ce que les salafistes algériens sont-ils sortis coléreux et en force, cette semaine, dans les rues d’Alger ? Serait-ce pour dénoncer les injustices sociales ? Non. Pour réclamer l’augmentation des salaires ? Mais non ! Pour dire non à l’exploitation du gaz de schiste ? Pas du tout. Pour dénoncer la mauvaise et louche distribution des logements sociaux ? Ceci n’est pas important à leurs yeux. Pour dénoncer la corruption qui gangrène l’économie algérienne ? Ceci, à leurs yeux, relève d’el-mektoub, du Ciel. Pour demander plus de liberté ?
           Non, la liberté est contre la morale, surtout pour la gent féminine ! Pour demander plus de passeports pour la saison prochaine du pèlerinage ? Non, même pas à cause de cela. Pour demander le droit à la constitution d’un parti fasciste ? Non, l’idée du parti est un mensonge occidental blasphématoire. El-Oumma ! Pour demander l’amélioration de l’enseignement secondaire et universitaire ? Non, le Prophète (QSSSL) fut analphabète, oummi. Pour demander plus de maisons de culture ou plus de théâtres ? Non, ces lieux sont réservés aux égarés. Pour el-kofr/l’apostasie. Pour dénoncer le chômage qui ronge les jeunes et les moins jeunes ? Non, chacun est né avec son destin inscrit, dessiné d’avance sur son front. Pour contrer la cherté de la vie et l’augmentation du prix de la pomme de terre ? Non, c’est le bon Dieu qui distribue le pain et la pomme de terre sur ses créatures ! Mais pourquoi est-ce que les salafistes algériens sont-ils sortis coléreux et en force, cette semaine, dans les rues d’Alger ? Les salafistes algériens sont sortis dans les rues d’Alger, tout simplement, pour défendre leur droit divin de “frapper” les femmes. Le droit de frapper la sœur. La mère. La fille. La nièce. La grand-mère. L’épouse. La tante. La voisine. La collègue de travail. La médecin. La pilote. La policière. La générale dans l’Armée nationale populaire. Leur droit divin d’exercer les violences sur les femmes. Toutes les femmes, celles dans les foyers, celles dans le travail et celles dans les rues ! Ils sont sortis, ces salafistes, pour réclamer leur droit divin de faire des femmes, toutes les femmes sans exception aucune, une “propriété” privée. Le musulman, le bon croyant, encerclé par une telle religion vidée de toutes cultures universelles, s’est métamorphosé en créature conditionnée, formatée, automate. Une théorie psycho-physique nous confirme : dès qu’un membre dans le corps humain est inerte, sans fonction aucune et pour longtemps, il est automatiquement condamné à disparaître. À mourir. Et depuis le cinquième siècle de l’hégire, le onzième selon le calendrier grégorien, un membre corporel n’a pas travaillé, n’a pas bougé, dans le corps du musulman : le cerveau.
           En contrepartie ce qui a bougé, pendant cette période, depuis le cinquième siècle de l’hégire, le onzième selon le calendrier grégorien, c’est le membre génital. Ce membre est omniprésent dans le conscient et dans l’inconscient ! Obsession musulmane ! Et cette manifestation des salafistes algériens, dans les rues d’Alger, confirme que seul ce membre génital est encore actif dans le corps du musulman. Cela explique aussi l’appel lancé, il y a quelques semaines, par des parlementaires, dans lequel ils ont demandé aux femmes de s’habiller “correctement” ! Se vêtir selon leur goût idéologique, plutôt pathologique. Maintenant, je sais pourquoi les salafistes algériens sont sortis dans les rues d’Alger ! Et je suis écœuré et triste !
           A. Z

          NDLR: Notez que l'auteur algérien ne fait pas de distingo subtil entre l'Islam et l'Islamisme.



Pauvre agriculture algérienne !
Envoyé par Eliane
http://www.lematindz.net/news/16961-pauvre-agriculture-algerienne.html


Par Le Matin | 20/03/2015   l Par : Ahcène Bettahar

          L’agriculture algérienne ressemble à s’y méprendre à un champ d’expérimentation où on a tout essayé, sans jamais parvenir à des résultats probants.

           La stratégie pour une agriculture efficiente est à trouver.
          La stratégie pour une agriculture efficiente est à trouver.

           Pourtant, à l’indépendance du pays, les Français avaient bien laissé une terre fertile produisant des quantités astronomiques de fruits, de légumes et de céréales. Aujourd’hui, la Mitidja, fleuron de l’agriculture algérienne jadis, est devenue tout simplement méconnaissable, et dans les hauts plateaux, les rendements des céréales sont tombés si bas qu’il est honteux de les mentionner ici.

           S’il est vrai que les gouvernants qui se sont succédé aux commandes de ce pays ne sont pas restés les bras croisés et qu’ils ont tenté, chacun à leur manière, de développer notre agriculture, il est vrai aussi qu’ils n’ont réussi qu’à maintenir ce secteur stratégique dans un sous développement chronique.

           Ni la révolution agraire chère à Houari Boumediene, ni la restructuration des domaines autogérés ou la création des EAC et des EAI du temps de Chadli Bendjedid, ni encore moins la politique agricole actuelle n’ont pu être d’un quelconque secours pour les Algériens, classés désormais parmi les plus gros importateurs du monde de céréales et de lait en poudre. Cela dit, une question se pose : qu’ont-ils de plus que nous ces pays qui ont atteint l’autosuffisance alimentaire avant de devenir de grands exportateurs de produits agricoles ? Comme eux, nous avons des terres, d’immenses terres même, et de l’eau. Mais pourquoi diantre sommes-nous alors incapables de relever le défi de l’autosuffisance alimentaire ?

           Une chose est sûre en tout cas, ce n’est pas avec l’ANSEJ, l’ANGEM ou la CNAC que nous développerons un jour notre agriculture. Pire encore, aussi bien étudiés soient-ils, sur le terrain, ces dispositifs n’ont fait qu’augmenter le nombre de faux fellahs.

           Ne désespérons pas toutefois ! Nos gouvernants sont là pour réfléchir et décider à notre place. Aux dernières nouvelles, ils comptent faire venir en Algérie des ouvriers agricoles étrangers. Qui a dit que nos ministres n’ont pas de suite dans les idées ?

           Croisons alors seulement les doigts et attendons que ces ouvriers arrivent et réalisent l’autosuffisance alimentaire en Algérie, pour que nous, très reconnaissants, puissions ajouter une autre réalisation et pas des moindres à l’actif de Fakhamatouhou.
          Ahcène Bettahar



Suicide de deux étudiants algériens en France : Adra tire la sonnette d’alarme
Envoyé par Eliane
http://www.lematindz.net/news/16941-suicide-de-deux-etudiants-algeriens-en-france-adra-tire-la-sonnette-dalarme.html

Par Le Matin | 18/03/2015 l Par : L’Association ADRA

          L’association Adra a réagi à la mort des deux étudiants algériens en France que nous avions rapporté dans un des précédents papiers.

           Les étudiants algériens vivent souvent dans des conditions difficiles en France.

           "Ils sont nés en Algérie, y ont vécu jusqu’à l’âge de la majorité. Et sont venus en France avec le rêve de devenir des cadres experts éminents ! Hélas la réalité est toute autre et nos étudiants confrontés à de nombreuses difficultés, découvrent que la France n'a rien à voir avec l’eldorado tant espéré.

           Désormais, livrés à eux -mêmes, ils doivent faire face aux lourdeurs administratives et à des lois inadaptées qui les asphyxient… Ils finissent malheureusement par sombrer dans la solitude, la dépression et la déchéance ! Cette semaine encore, l'association ADRA a été informée de nouveaux cas de désespoirs aboutissant à des actes irréparables, deux étudiants ont mis fin à leurs jours, bouleversant toute la communauté estudiantine algérienne en France. Un de ces étudiants était connu, suivi et aidé par ADRA.

           Deux pertes de trop qui s'ajoutent à la dizaine de cas de suicides déjà recensés l'an dernier, sur les 26 000 étudiants algériens en France. Jusqu’à quand ? Aujourd'hui en France, la plupart de ces étudiants se retrouvent dans une précarité extrême, les locations d'appartement sont inaccessibles, la crise économique frappe de plein fouet toute l’Europe et le marché du travail est saturé, s'ajoute à cela une législation défavorable et discriminatoire à l'égard de l'étudiant algérien. En effet les accords du 27 décembre 1968 ne leur permettent pas de travailler plus de 17 heures par semaine.

           Nous déplorons également le sort réservé aux défunts sans famille et sans ressources. La diaspora algérienne compte plus de 7 millions de ressortissants. Le problème du rapatriement des dépouilles mortelles d'Algériens décédés à l’étranger reste toujours d'actualité malgré la loi de finances 2015 ait été amendée. Alors que les Tunisiens et Marocains sont pris en charge par leurs Etats respectifs, pourquoi l’Etat algérien ne s’implique-t-il pas pour aider ses ressortissants à l’étranger ? Nous dénonçons les autorités algériennes pour leur passivité et leur laxisme face aux problèmes auxquelles la communauté est confrontée.

           Nous réclamons un passage à l'action et la nécessité de renforcer les accords de coopération avec la France.

           De ce fait, nous demandons au gouvernement algérien de dégager rapidement des fonds pour le rapatriement des dépouilles mortelles en application de la loi de finances 2015, en attendant le dispositif de soutien en préparation. Nous demandons à ce qu'une loi d'aide à l’autonomie de 200 euros pour les étudiants non-salariés soit votée par les parlementaires, ce qui représenterait un soutien immense pour leur vie quotidienne."

           L’Association ADRA

Les échanges par gazoducs ont chuté de 40%
Envoyé par jean Pierre
http://www.liberte-algerie.com/actualite/les-exportations-de-gaz-algerien-vers-litalie-seffondrent-222101
Par Rabhi Meziane le 17-03-2015        Par : Liberté-Algérie.com
Les exportations de gaz algérien vers l’Italie s’effondrent

            Les exportations algériennes de gaz vers l’Italie ont baissé de 40%.

           Les échanges internationaux de gaz, qui représentent 30% de l’offre mondiale, baissent fortement en raison du repli des importations en Europe.

           "Pour la troisième année consécutive, la croissance de la demande gazière ralentit.” C’est, du moins, ce que relève IFP Énergies nouvelles, un organisme français de recherche, d'innovation et de formation dans les domaines de l'énergie, du transport et de l'environnement, dans son panorama 2015, sur “les tendances à court terme de l'industrie gazière”. Armelle Le Carpentier indique que l'année 2014 est marquée par une plus faible activité globale de l’industrie gazière à tous les stades de la chaîne. Ceci s’explique par une concurrence accrue entre les énergies (charbon, renouvelables), le ralentissement économique et les conditions climatiques clémentes qui ont freiné l’expansion de la demande gazière (Europe, Asie) et conduit à des niveaux de stocks élevés. Ces développements ont pesé à la baisse sur les prix de marché et ont modifié les flux d’arbitrage interrégionaux. “L'expansion gazière avait déjà montré ses limites en 2012 avant de connaître un net ralentissement en 2013, qui semble se confirmer pour l’année 2014”, constate IFP Énergies nouvelles. Le document indique que les échanges internationaux de gaz, qui représentent 30% de l’offre mondiale, baissent fortement en raison du repli des importations en Europe, cette région étant la principale zone d’échanges par gazoducs. Armelle Le Carpentier évoque une chute d’environ 4% des échanges internationaux par gazoducs en 2014. Elle relève notamment la diminution très marquée des exportations de la Russie vers l’Europe (- 7%), de l’Algérie vers l’Italie (- 40%), et, dans une moindre mesure, de la Norvège vers l’UE (- 4%). Les échanges par méthaniers sont, aussi, limités par une faible demande gazière globale, note l’IFP Énergies nouvelles. Du côté de l’offre, l’Afrique du Nord, et dans une moindre mesure le Moyen-Orient, ont vu leurs exportations diminuer. En Europe, les importations nettes de GNL sont en chute libre depuis quatre ans. Depuis trois ans, la part du GNL dans l’approvisionnement européen est passée de 15% à environ 8%.

           Pour l’IFP Énergies nouvelles, la demande gazière mondiale restera impactée par la concurrence d’un charbon très compétitif (Asie, Europe continentale) et une croissance économique toujours au ralenti dans un certain nombre de pays. Par ailleurs, les énergies renouvelables resteront des énergies concurrentes majeures du gaz. “Les anticipations actuelles tablent donc sur des niveaux toujours modérés des prix moyens en Europe et en Asie en 2015, qui sont même prévus à la baisse dans le cas d’un scénario bas du prix du pétrole à 70 dollars le baril”, anticipe l’IFP Énergies nouvelles. En 2014, le prix moyen du gaz en Europe a fortement diminué sous l’effet conjoint de la baisse du prix du Brent et du prix spot. Le panorama relève que les réserves gazières prouvées restent très concentrées dans deux régions qui présentent, par ailleurs, une instabilité sur le plan économique et géopolitique : le Moyen-Orient (40%) et la Communauté des États indépendants, CEI (33%). Les pays de l'Opep détiennent 47% des réserves mondiales, mais ne représentent que 19% de la production. Au niveau national, trois pays possèdent, à eux seuls, plus de la moitié du volume global, à savoir la Russie (25%), l'Iran (17%) et le Qatar (12%).
Rédaction culturelle
           M. R.
           


MESSAGES
S.V.P., Lorsqu'une réponse aux messages ci-dessous peut, être susceptible de profiter à la Communauté, n'hésitez pas à informer le site. Merci d'avance, J.P. Bartolini

Notre Ami Jean Louis Ventura créateur d'un autre site de Bône a créé une rubrique d'ANNONCES et d'AVIS de RECHERCHE qui est liée avec les numéros de la Seybouse.
Pour prendre connaissance de cette rubrique,

cliquez ICI pour d'autres messages.
sur le site de notre Ami Jean Louis Ventura

--------------------
De M.

Bonjour,
        
Mon adresse est :



De M. Pierre Jarrige

Chers Amis
Voici les derniers Diaporamas sur les Aéronefs d'Algérie. A vous de les faire connaître.
    Diaporama 82                                          Diaporama 83
    Diaporama 84                                          Diaporama 85
    Diaporama 86                                          Diaporama 87
    Diaporama 88                                          Diaporama 89
Pierre Jarrige
Site Web:http://www.aviation-algerie.com/
Mon adresse : jarrige31@orange.fr

DIVERS LIENS VERS LES SITES

M. Gilles Martinez et son site de GUELMA vous annoncent la mise à jour du site au 1er Mai 2015.
Son adresse: http://www.piednoir.net/guelma
Nous vous invitons à visiter la mise à jour.
Le Guelmois, guelma-collectif@orange.fr




CLIQUEZ ICI pour d'autres messages.

POUR CEUX QUI ONT CONNU LES FRANCS ...
Envoyé par Christian

     Avec 5 francs…j'ai raconté à mon petit fils les grands changements depuis que moi, son grand-père, j'étais un enfant.

     Quand j'avais ton âge, ma maman m'envoyait à l'épicerie du coin avec un billet de 5 francs, ce qui représente aujourd'hui environ 0,75 euro.

     Je revenais à la maison avec une plaquette de beurre, un litre de lait, un sac de patates, un morceau de fromage, un paquet de sucre , une baguette et une douzaine d’œufs !!!

     Et mon petit-fils m'a répondu:
     «Oui mais Papy, à ton époque il n'y avait pas de caméras de surveillance !»
     
ØØØØØØØØØØØØØØ


Si vous avez des documents ou photos à partager,
n'hésitez-pas à nous les envoyer. D'avance, Merci.

                 EN CLIQUANT. ===> ICI


Numéro Précédent RETOUR Numéro Suivant